toutela journĂ©e, je ne pense qu'Ă  ça. j'aime la musique, pour moi c'est magique. et quand elle est lĂ , j'ai le cƓur qui bat. elle me donne l'espoir. quand mon cƓur est noir. elle me donne tant de joie. que je ne pourrais jamais vivre sans elle. j'aime la musique, oui c'est magnifique. elle a ce parfum que je connais bien.
Elle Ă©tait attendue au tournant, elle a fait un tout droit sur la ligne du Thalys, direction le tube de l’annĂ©e ». Au moment de lancer la promo de son deuxiĂšme album, Nonante-cinq, AngĂšle a dĂ©gainĂ© Bruxelles je t’aime, dĂ©claration d’amour Ă  la ville de son enfance. Sans faire offense aux quatre autres chansons nommĂ©es dans la catĂ©gorie Chanson de l’annĂ©e aux Victoires de la musique 2022, il est absolument Ă©vident que la ritournelle d’AngĂšle est la seule qui s’apparente Ă  ce qu’on peut appeler un reconnaissable au bout de quelques notes, Bruxelles je t’aime porte la signature vocale de son interprĂšte, est facile Ă  fredonner, Ă  danser, et mĂȘme Ă  parodier elle va beaucoup ĂȘtre adaptĂ©e dans les mariages 2022
. Elle reste en tĂȘte sans saouler. Bref, c’est le crush idĂ©al. La mĂ©lodie est venue trĂšs vite, nous racontait AngĂšle il y a quelques mois. Pendant que j’écrivais les couplets j’ai essayĂ© plusieurs fois de changer le refrain mais je ne trouvais pas. Finalement, j’ai mis du temps Ă  comprendre que ce premier jet, trĂšs spontanĂ©, Ă©tait ce qu’il fallait Ă  cette chanson. Au moment de placer ma voix, ça a Ă©tĂ© trĂšs facile aussi, j’ai tout de suite Ă©tĂ© Ă  l’aise vocalement sur Bruxelles je t’aime, Bruxelles, je t’aime. »Tout le monde a une ville dans son cƓurMais au-delĂ  de ça, la chanson d’AngĂšle est un marqueur essentiel de notre annĂ©e 2021, l’an 2 du Coronavirus. LĂ  oĂč Clara Luciani espĂ©rait que l’on danse et Respire encore ratĂ©, ça ne transpire toujours pas dans le bordel des bars le soir » , lĂ  oĂč Juliette Armanet prophĂ©tise Le dernier jour de disco ratĂ© aussi, les riviĂšres du destin » ne s’affolent toujours pas comme du satin », AngĂšle a vu juste. L’isolement nous a fait retrouver l’amour des villes d’avant, pas celle oĂč l’on court d’un point Ă  un autre, mais celles oĂč l’on a des attaches, des souvenirs. AngĂšle chante que la beautĂ© est lĂ  oĂč on choisit de la voir. AngĂšle chante les amours apaisĂ©es nĂ©es de l’introspection. AprĂšs la tournĂ©e, j’avais prĂ©vu de faire une longue pause musicale, raconte la chanteuse. Je ne voulais plus entendre parler de nouveaux morceaux, de composition, de studio, et surtout pas de second album. Et puis est arrivĂ© le confinement
 Je me suis retrouvĂ©e face Ă  moi-mĂȘme, avec les angoisses que tout le monde vivait. J’avais prĂ©vu d’aller au soleil, sur une Ăźle, et je me suis retrouvĂ©e coincĂ©e Ă  Bruxelles. Et naturellement je me suis installĂ© une sorte de petit studio, une cabane un peu bricolĂ©e dans mon appartement. Et lĂ , le premier air, la premiĂšre chanson qui est venue, c’est Bruxelles je t’aime. »Pas de seumSans vraiment le dĂ©cider, AngĂšle a ensuite composĂ© tout un album. Et au moment de choisir l’ordre des chansons, puis le premier single, Bruxelles je t’aime s’est imposĂ©. Comme une introduction joyeuse aux confessions plus sombres qui vont suivre. Cette chanson, par sa genĂšse, est aussi une ode Ă  l’inspiration, oĂč la muse est une ville, un hommage Ă  ces chansons qui nous sauvent, qui nous font relever la tĂȘte, qui nous font entrevoir la lumiĂšre au bout du tunnel. PlutĂŽt qu’une chanson bĂȘtement premier degrĂ© sur le confinement, AngĂšle livre un hymne intime, Ă  l’image du reste de l’ Bruxelles je t’aime est aussi une chanson fĂ©dĂ©ratrice. Sans ĂȘtre belge on peut ressentir un amour sincĂšre pour Bruxelles et tout ce que cette ville reprĂ©sente. Le souvenir d’un week-end amoureux, la passion pour la biĂšre et les frites, le goĂ»t du second degrĂ© dĂ©tachĂ© propre aux habitants de la ville
 Et surtout, aimer Bruxelles et la Belgique en musique est une maniĂšre de s’excuser de l’attitude des fans de foot français Ă  l'Ă©gard des Belges on a l’habitude d’avoir la honte Ă  cause d’eux mais avec leur rengaine sur le seum belge, ils se sont surpassĂ©s.Puisque, qu’on le veuille ou non, Bruxelles je t’aime est le tube francophone de l’annĂ©e, il serait vraiment incongru de ne pas lui remettre la Victoire de la chanson de l’annĂ©e. Par les temps qui courent, un peu de cohĂ©rence ne peut pas nuire.
Parolesde chants. Blagues/Proverbes TEXTES ENSEIGNEMENTS : Henri VIAUD-MURAT | Salut et nouvelle naissance : Ecouter. Commentaires. 0 Imprimer. J'aime! 0 Partager! Mis en ligne le : 30-09-2010 . Source : http
En ces temps oĂč le Covid fait apparaĂźtre en pleine lumiĂšre le mensonge, oĂč des forces peuvent agir dans tous les pays du monde dans un timing parfait, afin de mettre en place restrictions, confinement
 oĂč les gĂ©ants d’internet s’associent aux gouvernements du monde et aux laboratoires pharmaceutiques, afin que la libertĂ© d’expression soit strictement encadrĂ©e
 oĂč Joe Biden retarde la publication des dossiers d’assassinat de JFK Ă  cause de la pandĂ©mie de covid-19
 Voici le discours de John F. Kennedy, donnĂ© le 12 novembre 1963 Ă  l’universitĂ© de Columbia, dix jours avant son assassinat le 22 novembre 1963. Un discours oĂč les mots de JFK prennent vie en ces jours troubles que nous vivons depuis le dĂ©but de cette pandĂ©mie. Ce sont les paroles d’un homme qui a eu le courage d’alerter ses concitoyens en son temps et qui vous avertit, vous, 59 ans plus tard, d’ouvrir les yeux. Le simple mot de secret est inacceptable dans une sociĂ©tĂ© libre et ouverte. Et nous sommes, en tant que peuple, intrinsĂšquement et historiquement opposĂ© aux sociĂ©tĂ©s secrĂštes, aux serments secrets, aux rĂ©unions secrĂštes. » John F. Kennedy Discours de John F. Kennedy, Ă  l’universitĂ© de Columbia, le 12 novembre 1963, 10 jours avant son assassinat. La question de la survie de notre sociĂ©tĂ© fait apparaĂźtre deux nĂ©cessitĂ©s, qui concernent Ă  la fois le prĂ©sident et la presse, deux gageures qui peuvent sembler contradictoires, mais qui peuvent ĂȘtre conjuguĂ©es et remplies si nous nous groupons face Ă  ce pĂ©ril national. Je me rĂ©fĂšre ici Ă  l’importance d’informer largement le public et Ă  la nĂ©cessitĂ© de refuser la politique officielle du secret. Le simple mot de secret est inacceptable dans une sociĂ©tĂ© libre et ouverte. Et nous sommes en tant que peuple intrinsĂšquement et historiquement opposĂ©s aux sociĂ©tĂ©s secrĂštes, aux serments secrets, aux rĂ©unions secrĂštes. Nous avons dĂ©cidĂ© il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiĂ©e de faits pertinents dĂ©passent de loin les dangers que l’on cite pour les justifier. MĂȘme aujourd’hui il est peu justifiĂ© de rĂ©sister Ă  la menace d’une sociĂ©tĂ© fermĂ©e en imitant ses restrictions arbitraires. MĂȘme aujourd’hui, il est peu justifiĂ© d’assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il y a un danger trĂšs grave qu’un besoin annoncĂ© de sĂ©curitĂ© accrue soit l’opportunitĂ© que saisiront ceux soucieux d’étendre sa portĂ©e aux limites extrĂȘmes de la dissimulation et de la censure officielle. VoilĂ  ce que je n’ai pas l’intention de laisser faire dans la mesure oĂč j’en ai le contrĂŽle. Et aucun officiel de mon administration, quel que soit son rang, qu’il soit civil ou militaire, ne devrait interprĂ©ter mes paroles ici ce soir comme une justification pour censurer la presse, Ă©touffer la dissidence, cacher nos erreurs ou soustraire au public et Ă  la presse les faits qu’ils mĂ©ritent de savoir. Mais je demande Ă  tout publiciste, tout Ă©diteur, tout journaliste dans ce pays de rĂ©examiner ses propres principes moraux et de reconnaĂźtre la nature du pĂ©ril qui menace notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse ont traditionnellement mis en commun leurs efforts reposant largement sur l’autodiscipline, pour empĂȘcher la divulgation d’informations non-autorisĂ©es Ă  l’ennemi. En temps de danger clair et prĂ©sent », les tribunaux ont maintenu que mĂȘme les droits privilĂ©giĂ©s du premier amendement doivent cĂ©der devant le besoin commun de sĂ©curitĂ© nationale. Aujourd’hui, aucune guerre n’a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e, et aussi fĂ©roce le combat puisse-t-il ĂȘtre, elle pourrait bien ne jamais se dĂ©clarer Ă  la façon habituelle. Notre mode de vie est attaquĂ©. Ceux qui se veulent nos ennemis progressent partout dans le monde. La survie de nos amis est menacĂ©e. Et pourtant, aucune guerre n’a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e, aucune frontiĂšre n’a Ă©tĂ© franchie par des troupes en marche, aucun missile n’a Ă©tĂ© tirĂ©. Si la presse attend une dĂ©claration de guerre avant d’imposer l’autodiscipline qui s’impose dans ces conditions, alors peut seulement dire que aucune guerre n’a jamais autant menacĂ© notre sĂ©curitĂ©. Si vous attendez une situation de danger clair et actuel », alors je peux seulement dire que le danger n’a jamais Ă©tĂ© aussi clair et sa prĂ©sence plus imminente. Cela requiert un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par tout homme d’affaires ou chef d’entreprise et par tout journaliste. Car nous sommes confrontĂ©s dans le monde Ă  une conspiration monolithique et implacable qui repose essentiellement sur des moyens secrets pour Ă©tendre sa sphĂšre d’influence par l’infiltration au lieu de l’invasion, la subversion au lieu d’élections, l’intimidation au lieu d’un choix libre, des guĂ©rillas de nuit au lieu d’armĂ©es en plein jour. C’est un systĂšme qui a mobilisĂ© de vastes ressources humaines et matĂ©rielles dans la construction d’une machinerie trĂšs efficace et au maillage trĂšs serrĂ© qui combine opĂ©rations militaires, diplomatiques, de renseignement, Ă©conomiques, scientifiques et politiques. Ses plans sont dissimulĂ©s, non publiĂ©s. Ses erreurs sont cachĂ©es, non affichĂ©es. Ses dissidents sont rĂ©duits au silence, pas fĂ©licitĂ©s. Aucune dĂ©pense n’est mise en question, aucune rumeur ne circule, aucun secret rĂ©vĂ©lĂ©. Il conduit la guerre froide, bref, avec une discipline de temps de guerre aucune dĂ©mocratie ne pourrait jamais espĂ©rer ou dĂ©sirer bien se porter. Cependant, toute dĂ©mocratie reconnaĂźt les restrictions nĂ©cessaires liĂ©es Ă  la sĂ©curitĂ© nationale et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent ĂȘtre plus strictement observĂ©es si nous devons faire face Ă  ce genre d’attaque et d’incontestable invasion. A vrai dire c’est un fait que les ennemis de cette nation se sont ouvertement vantĂ©s d’acquĂ©rir dans nos journaux les informations qu’ils auraient dĂ» obtenir dans le cas contraire en engageant des agents, par le vol, la corruption et l’espionnage; que les dĂ©tails des plans secrets de cette nation pour contrer les opĂ©rations secrĂštes de l’ennemi ont Ă©tĂ© mis Ă  la portĂ©e de chaque lecteur de journal, ami autant qu’ennemi ; que les effectifs , la puissance, l’emplacement et la nature de nos forces et armes, et nos plans et stratĂ©gie pour leur utilisation ont tous Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©s dans la presse et autres mĂ©dias Ă  un degrĂ© suffisant pour satisfaire n’importe quelle puissance Ă©trangĂšre ; et que dans au moins un cas, la publication de dĂ©tails concernant un mĂ©canisme secret, par lequel les satellites Ă©taient suivis, a demandĂ© sa modification au prix de beaucoup de temps et d’argent. Les journaux qui ont imprimĂ© ces histoires Ă©taient loyaux, patriotes, responsables et de bonne volontĂ©. Si nous avions Ă©tĂ© engagĂ©s dans une guerre ouverte, ils n’auraient sans aucun doute pas publiĂ© ces faits. Mais en l’absence de guerre ouverte, ils ne reconnaissaient que les contrĂŽles du journalisme et non ceux de la sĂ©curitĂ© nationale. Et la question que je pose ce soir est de savoir si des contrĂŽles additionnels ne devraient pas ĂȘtre adoptĂ©s maintenant. A vous seuls d’y rĂ©pondre. Aucun officiel ne devrait le faire Ă  votre place. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses restrictions contre votre volontĂ©. Mais je manquerais Ă  mon devoir envers la nation, considĂ©rant toutes les responsabilitĂ©s que nous assumons maintenant et tous les moyens dont nous disposons pour remplir ces responsabilitĂ©s, si je n’attirais pas votre attention sur ce problĂšme et ne conseillais vivement sa prise en compte rĂ©flĂ©chie. En de nombreuses occasions auparavant, j’ai dit et vos journaux ont constamment dit que nous sommes en des temps qui font appel au sens du sacrifice et Ă  l’autodiscipline de chaque citoyen. Ils demandent que chaque citoyen mette en balance ses droits et son confort avec ses obligations au bien commun. Je ne peux pas croire maintenant que ces citoyens qui travaillent dans le journalisme se considĂšrent non concernĂ©s par cet appel. Je n’ai pas l’intention de mettre en place un nouveau bureau d’information sur la guerre pour canaliser le flot des nouvelles. Je ne suggĂšre pas de quelconques nouvelles formes de censure ou quelconques nouveaux niveaux de secret. Je n’ai pas de rĂ©ponse Ă©vidente au dilemme que j’ai soulevĂ©, et ne chercherais pas Ă  l’imposer si j’en avais une. Mais je demande aux membres de la profession journalistique et de l’industrie dans ce pays de rĂ©examiner leurs propres responsabilitĂ©s, de considĂ©rer le degrĂ© et la nature du danger prĂ©sent, et de respecter le devoir d’autorestriction que ce danger nous impose Ă  tous. Tout journal maintenant se demande, par rapport Ă  chaque histoire S’agit-il de nouvelles informations ? » Tout ce que je suggĂšre est que vous ajoutiez la question Est-ce dans l’intĂ©rĂȘt de la sĂ©curitĂ© nationale ? » Et j’espĂšre que tout groupe en AmĂ©rique associations et hommes d’affaires et officiels Ă  tous niveaux poseront la mĂȘme question sur les efforts Ă  accomplir, et soumettront leurs actions aux mĂȘmes justes contrĂŽles. Et si la presse amĂ©ricaine considĂ©rait et recommandait la mise en place volontaire de nouveaux Ă©lĂ©ments spĂ©cifiques dans les rouages du gouvernement, je peux vous assurer que nous coopĂ©rerons de tout cƓur et prendrons en considĂ©ration ces recommandations. Peut-ĂȘtre n’y aura-t-il pas de recommandations. Peut-ĂȘtre n’y a-t-il pas de rĂ©ponse au dilemme auquel se trouve confrontĂ©e une sociĂ©tĂ© libre et ouverte dans une guerre froide et secrĂšte. En temps de paix, toute discussion sur ce sujet, et toute action qui en rĂ©sulte, sont Ă  la fois douloureuses et inĂ©dites. Mais nous vivons un temps de paix et de pĂ©ril tel qu’on n’en a jamais connu dans l’histoire. C’est la nature sans prĂ©cĂ©dent de ce dĂ©fi qui aussi exige de vous de rĂ©pondre Ă  une deuxiĂšme obligation, une obligation que je partage. Et c’est celle d’informer et d’alerter le peuple amĂ©ricain, de s’assurer qu’il possĂšde tous les Ă©lĂ©ments d’information nĂ©cessaires et qu’il les comprenne Ă©galement les pĂ©rils, les perspectives, les objectifs de notre programme et les choix qui se prĂ©sentent Ă  nous. Aucun prĂ©sident ne devrait craindre que le public ne scrute son programme. Car cet examen approfondi permet la comprĂ©hension. Et la comprĂ©hension autorise le soutien ou l’opposition. Les deux sont nĂ©cessaires. Je ne demande pas Ă  vos journaux de soutenir l’administration, mais je demande votre aide dans la tĂąche Ă©norme d’informer et d’alerter le peuple amĂ©ricain. Car j’ai toute confiance en la rĂ©ponse et le dĂ©vouement de nos citoyens dĂšs qu’ils sont pleinement informĂ©s. Non seulement je ne pourrais pas rĂ©primer la controverse entre vos lecteurs, mais je dis qu’elle est la bienvenue. Cette administration a l’intention d’ĂȘtre franche concernant ses erreurs car comme un homme sage a dit un jour Une erreur ne devient une faute que lorsqu’on refuse de la corriger. » Nous avons l’intention de prendre la pleine responsabilitĂ© de nos erreurs. Et nous attendons de vous que vous les pointiez du doigt quand nous manquerons Ă  cet engagement. Sans dĂ©bat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peuvent rĂ©ussir, et aucune rĂ©publique ne peut survivre. C’est pourquoi, selon ce que le lĂ©gislateur athĂ©nien dĂ©crĂ©ta, c’est un crime qu’un citoyen se dĂ©robe Ă  la controverse. Et c’est pourquoi notre presse fut protĂ©gĂ©e par le premier amendement le seul business en AmĂ©rique spĂ©cifiquement protĂ©gĂ© par la Constitution, pas en premier lieu pour amuser ou divertir, pas pour exacerber le trivial et le sentimental, pas pour simplement donner au public ce qu’il veut », mais pour informer, stimuler, rĂ©flĂ©chir, faire Ă©tat des dangers et opportunitĂ©s, montrer nos crises et nos choix pour mener, façonner, Ă©duquer et parfois mĂȘme provoquer la colĂšre de l’opinion publique. Cela signifie une plus vaste couverture et analyse des nouvelles internationales car elle n’est plus lointaine et Ă©trangĂšre, mais Ă  portĂ©e de main et locale. Cela signifie une attention accrue Ă  une comprĂ©hension amĂ©liorĂ©e des actualitĂ©s autant qu’une meilleure transmission. Et cela signifie, enfin, que le gouvernement, Ă  tous les niveaux, doit remplir son obligation de vous fournir l’information la plus complĂšte possible en dehors des limites les plus Ă©troites de la sĂ©curitĂ© nationale et nous avons l’intention de le faire. C’est au tout dĂ©but du 17e siĂšcle que Francis Bacon remarqua trois inventions rĂ©centes qui Ă©taient dĂ©jĂ  en train de transformer le monde la boussole, la poudre Ă  canon et l’imprimerie. Maintenant le lien entre les nations, qui a Ă©tĂ© d’abord accompli par la boussole, a fait de nous tous des citoyens du monde, les espoirs et les craintes d’un seul devenant les espoirs et les craintes de tous. Tandis que les efforts se poursuivent pour vivre ensemble dans ce monde unique, l’évolution de la poudre Ă  canon jusqu’à ses limites ultimes a mis en garde l’humanitĂ© contre les terribles consĂ©quences d’un dĂ©rapage. C’est donc de la machine Ă  imprimer de la mĂ©moire des actions des hommes, la gardienne de leurs consciences, la messagĂšre de leurs nouvelles que nous attendons de la force et de l’assistance, qu’elle nous donne confiance qu’avec votre aide, l’Homme sera ce pourquoi il est nĂ© libre et indĂ©pendant. John F. Kennedy Source
Florence 3 ans : « Moi, j'aime mon papa qui est full cool, j « J'aime papa parce qu'il joue Ă  la bataille avec moi et quand il m'emmĂšne au parc. » LĂ©o, 5 ans : « Ben parce que je l'aime! Parce qu'il me fait beaucoup de cĂąlins! » Chameli, 6 ans : « Parce qu'il est drĂŽle! Il me fait des blagues pour rire, j'aime sa barbe avec ses yeux grands et ses lunettes. Il est grand et il TouĂ©lĂ© joli, oh ti’ fille, touĂ© lĂ© jolie jolie mĂȘm’. N’a rien qu’touĂ© mĂȘm pou fait fond’ mon cƓur. Comm’ ça mĂȘm’. TouĂ© lĂ© jolie, ton dent lĂ© blanc comm’ de riz. TouĂ© lĂ© jolie, ton ziĂ© brille comm’grain letchis. Ton ziĂ© lĂ© noir ti fille, ton cheveu lĂ© noir aussi. Ah 179- Quand il est mort le poĂšte - (1965) Type : chanson - Musique : Louis Amade - Paroles : Gilbert BĂ©caud - Créé par : Gilbert BĂ©caud (1965) - À la mĂ©moire de Jean Cocteau Arrangement : GĂ©rard Thouy (2009), pour 3 voix (femmes).
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