Lecamp servit aussi de lieu d'exécution de 107 résistants. Ce taux de mortalité de 40% le place «parmi les plus meurtriers du systÚme

© EP Media - 2015 Genre Histoire Parution One shot Tome 1 Identifiant 498 Origine Europe Langue Français Forum Discuter de la sĂ©rie dans les forums Quelque part en ex-Yougoslavie. Le vieux Kazik et sa femme se souviennent d'Auschwitz... Quand en mars 1944, ils dĂ©couvrent que la barbarie revĂȘt une forme humaine celle du bourreau nazi. PremiĂšre bande dessinĂ©e rĂ©aliste sur la Shoah, ce rĂ©cit bouleversant, directement inspirĂ© des tĂ©moignages des survivants du camp d'Auswitz-Birkenau, raconte le quotidien du camp d'extermination. L'auteur ne cherche pas Ă  rĂ©sumer la Solution Finale ni Ă  dĂ©velopper de thĂšse historique, mais souhaite sensibiliser les nouvelles gĂ©nĂ©rations au devoir de mĂ©moire. Pour ne jamais oublier les millions de victimes du nazisme. UnrĂ©cit bouleversant. Les dispositifs vidĂ©o les plus simples sont parfois les plus efficaces. À l’occasion des 75 ans de la libĂ©ration des camps de Le nazisme n’était pas qu’une histoire d’hommes. EngagĂ©es volontaires ou infirmiĂšres ayant fait le choix de se livrer Ă  la pire barbarie, de nombreuses femmes ont participĂ© aux crimes contre l’humanitĂ© perpĂ©trĂ©s par le rĂ©gime, alors mĂȘme que leur refus ou leur mise en retrait n’aurait pas constituĂ© un danger pour leur vie. Un bouquin, les Furies d’Hitler qui n’est pas le titre d’un film porno, de Wendy Lower, revient sur le parcours de nombre de femmes tortionnaires. 1. Irma Grese On surnommait Irma La hyĂšne d’Auschwitz, et non pas Madame Roudoudou, par exemple, ou Chaton d’amour, et y’a une raison Ă  ça. Irma Grese a Ă©tĂ© formĂ©e Ă  bonne Ă©cole, par Dorothea Binz au camp de Ravensburk. MutĂ©e Ă  Auschwitz en tant que surveillante-chef, elle donne toute la mesure de son talent en faisant preuve d’un sadisme terrifiant elle choisit des femmes plus jolies qu’elle et leur fait couper les seins avant de les laisser souffrir d’infection pour pouvoir les avoir sous sa coupe. Grese Ă©tait excitĂ©e sexuellement par leur souffrance. Grese abusait sexuellement certaines dĂ©tenues et pratiquait des assassinats sommaires. Elle a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 1945 et exĂ©cutĂ©e par pendaison. 2. Maria Mandl Autre gardienne d’Auschwitz, Maria Mandl, la bĂȘte d’Aushwitz », avait elle une prĂ©fĂ©rence pour l’assassinat des enfants. Elle choisissait avec soin ceux qui devaient aller prendre une douche de gaz. Elle torturait Ă©galement les femmes avec beaucoup de mĂ©ticulositĂ© et prenait plaisir Ă  les voir agoniser de douleur. Elle avait plaisir Ă  punir des gens qui n’avaient rien fait de mal. ArrĂȘtĂ©e Ă  la libĂ©ration, elle a Ă©tĂ© pendue en 1948 Ă  Cracovie. 3. Erna Petri Petri Ă©tait une femme d’officier SS et n’exerçait pas Ă  proprement parler de fonction dans l’appareil nazi. EnvoyĂ©e au Pologne avec son mari, elle tombe un jour sur un groupe de 6 enfants morts de faim en rentrant des courses. Toute gentille, elle leur offre un peu Ă  manger et se rend compte qu’il s’agit d’enfants Ă©vadĂ©s d’un camp de concentration. Elle les emmĂšne alors dans la forĂȘt sous prĂ©texte de les cacher et les abat un Ă  un d’une balle dans la nuque. Elle a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 1962 Ă  une peine de prison Ă  vie. 4. Johanna Altvater, dite "Frau Hanna" Simple secrĂ©taire, Johanna Altvater a sĂ©vi en Ukraine avec beaucoup de sĂ©rieux. Deux anecdotes la dĂ©finissent particuliĂšrement bien tandis que les nazis mettaient les ghettos Ă  sac, Johanna Altvater s’est rendu dans un dispensaire mĂ©dical qui accueillait des enfants. LĂ , elle a pris soin de bien choisir son gamin de prĂ©dilection pour l’emmener au troisiĂšme Ă©tage et le jeter par la fenĂȘtre. A un autre moment, elle a attirĂ© un tout petit enfant Ă  elle en lui promettant des bonbons avant de le saisir par les pieds devant ses parents et de lui fracasser le crĂąne contre un mur Ă  grands coups. Le tout de son propre chef, sans avoir reçu aucun ordre. 5. Liesel Willhaus Encore une sympathique petite dĂ©conneuse. Liesel Willhaus, femme de commandant nazi, asseyait sa petite fille Ă  ses cĂŽtĂ©s tandis qu’elle organisait des lĂąchers de juifs » dans le jardin de sa somptueuse villa et les tirait comme des lapins avec un fusil. Elle invitait les femmes de la meilleure sociĂ©tĂ© Ă  la rejoindre dans cette activitĂ© on ne peut plus rĂ©crĂ©ative. 6. Ilse Koch Epouse du commandant en chef de Buchenwald, la sorciĂšre de Buchenwald » avait une vraie passion pour la torture et les souvenirs. Elle conservait ainsi des coupes anatomiques de prisonniers qu’elle gardait et s’était mĂȘme construit un presse-papier avec la tĂȘte miniaturisĂ©e d’un officier russe. Ilse Koch choisissait les prisonniers tatouĂ©s qu’elle souhaitait voir mourir pour ensuite pouvoir arracher les morceaux de leur peau abritant des tatouages et complĂ©ter sa collec’. Ilse Koch a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  la prison Ă  vie en Allemagne de l’Ouest, quelques annĂ©es aprĂšs la fin de la guerre. CrĂ©dits photo Domaine Public unknown soldier or employee of the Army Signal Corps 7. Gertrude Segel Comme Wiilhaus, Segel, mariĂ©e au commandant SS Felix Landau, avait une trĂšs jolie villa. VoilĂ  ce que racontent des tĂ©moins sur les activitĂ©s auxquelles elle s’adonnait en juin 1942, alors que des jardiniers juifs Ă©taient occupĂ©s Ă  travailler dans leur jardin, Felix Landau et Gertrude Segel se saisirent d’une carabine et s’installĂšrent, en tenue de bain, Ă  leur balcon. Ils commencĂšrent Ă  tirer des pigeons, mais comme ce n’était pas assez drĂŽle, ils se mirent Ă  viser les jardiniers juifs. Ils en abattirent un, en riant. Segel et Landau picolaient pas mal et chacune de leur sĂ©ance de beuverie se terminait par un petit massacre de juifs. Une activitĂ© comme une autre. 8. Pauline Kneissler InfirmiĂšre en BiĂ©lorussie, Kneissler Ă©tait chargĂ©e de faire des injections Ă  des enfants juifs pour les tuer. Elle Ă©tait chargĂ©e de choisir les personnes qu’il fallait assassiner et son choix ne se faisait pas uniquement sur des critĂšres mĂ©dicaux elle optait parfois pour des personnes tout Ă  fait bien portantes. Kneissler gavait ses proies de morphine avant de les gazer. Mais attention, Ă  son procĂšs, elle a dĂ©plorĂ© d’avoir fait ça mĂȘme si, bon, hein, le gaz, ça fait pas souffrir ». 9. Frau Apfelbaum Sous l’autoritĂ© du Commissaire Hanweg, en BiĂ©lorussie, cette frau Apfelbaum organisait des chasses au Juifs dans la forĂȘt de Lida avec lĂącher façon lapins et tout et tout. A. LA. COOL. 10. Dorothea Binz EngagĂ©e volontaire dans la SS Ă  19 ans, Dorothea Binz Ă©tait l’une des superviseuses du camp pour femmes de Ravensbruck. VĂ©ritable Ăąme du camp, Binz a notamment Ă©tĂ© en charge du dĂ©partement torture et assassinat ça devait pas s’appeler comme ça, et Ă©tait connue pour sa propension Ă  choisir les femmes les plus faibles ou les plus effrayĂ©es avant de les rouer de coups. C’est Ă©galement Ă  elle que l’on doit la formation des pires gradĂ©es nazies, dont Ruth Neudeck connue pour avoir tranchĂ© la gorge d’une femme avec une pelle, par exemple, ou encore Irma Grese. Estil vrai que les dĂ©tenus des camps de concentration nationaux-socialistes se soient laissĂ©s conduire comme des moutons Ă  l'abattoir, qu'ils aient supportĂ© passivement la tyrannie de gardiens trĂšs infĂ©rieurs en nombre? Non,
Par JoĂ«l Chatreau ‱ Mise Ă  jour 26/01/2015 Le camp d’Auschwitz-Birkenau, libĂ©rĂ© par l’ArmĂ©e rouge il y a 75 ans – le 27 janvier 1945 – est le plus fort symbole de l’extermination des Juifs, des Tziganes, des Polonais, des SoviĂ©tiques et autres une vingtaine de nationalitĂ©s, orchestrĂ©e par le rĂ©gime nazi Ă  l’échelle industrielle. Il est Ă©galement le seul camp de concentration Ă  avoir instituĂ© la plus ignoble des mĂ©thodes d’identification de ses prisonniers, en les marquant dans leur chair de maniĂšre indĂ©lĂ©bile avec un tatouage. Dans les autres camps Ă©tablis sous le IIIe Reich, les dĂ©portĂ©s avaient leur numĂ©ro de matricule cousu sur le vĂȘtement au niveau de la poitrine. C’est au dĂ©but de l’annĂ©e 1943 que le commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss, dĂ©cida de faire tatouer tous les dĂ©tenus, hommes et femmes, Ă  l’exception des seuls 14 juin 1940 est la date qui est considĂ©rĂ©e comme Ă©tant celle du tout dĂ©but de l’activitĂ© du camp, installĂ© dans des quartiers vidĂ©s de leurs habitants de la ville d’Oswiecim, dans le sud de la Pologne. Ce jour lĂ  y arriva un premier convoi de 728 prisonniers politiques polonais. Mais ce n’est qu’à partir de dĂ©cembre 1941 que le tatouage fut “testĂ©â€ avant tout sur des dĂ©tenus soviĂ©tiques. ParticuliĂšrement maltraitĂ©s par les gardiens SS, ils mouraient en grand nombre sur 15 000 internĂ©s, seulement mille survĂ©curent et il devenait impossible de les recenser. La premiĂšre mĂ©thode de tatouage se transforma en torture une plaque, percĂ©e d’aiguilles qui formaient les chiffres du matricule, Ă©tait brutalement enfoncĂ©e dans la poitrine du dĂ©portĂ©, puis de l’encre Ă©tait apposĂ©e sur la peau incisĂ©e. A partir du printemps 1942, les Polonais seront soumis au mĂȘme cruel traitement. šTatouage systĂ©matique sur l'avant-bras gaucheCe n’est que le 22 fĂ©vrier 1943, comme l’indique une fiche rĂ©digĂ©e par la Kommandantur d’Auschwitz, que commence le tatouage systĂ©matique des dĂ©portĂ©s, Juifs ou non, qui ont Ă©chappĂ© Ă  la mort dans les chambres Ă  gaz car ils avaient Ă©tĂ© considĂ©rĂ©s par les SS comme aptes au travail. A cause de l’immensitĂ© du camp qui, avec ses 47 annexes, finit par s’étendre sur 40 km2, les nazis estiment que c’est le meilleur moyen d’identifier tous les prisonniers, y compris quand ils meurent. Le numĂ©ro de matricule sera dĂ©sormais tatouĂ© sur l’avant-bras gauche, en gĂ©nĂ©ral sur la partie externe mais aussi, Ă  certaines pĂ©riodes, Ă  l’intĂ©rieur de l’avant-bras. Ce sont des “schreiber”, notamment des dĂ©tenus forcĂ©s Ă  le faire, qui tatouent chiffre par chiffre Ă  l’aide d’ le livre “MĂ©decin Ă  Auschwitz”, le mĂ©decin lĂ©giste Miklos Nyiszli, un Juif Hongrois, raconte “Un prisonnier pratique avec un instrument rempli d’encre un grand nombre de petites piqĂ»res sur mon bras. A la place de ces derniĂšres apparaissent des tĂąches bleutĂ©es et floues. Il me rassure, la peau va s’enflammer un peu, mais cela passera aprĂšs une semaine et les numĂ©ros apparaĂźtront nettement dĂ©tachĂ©s”. A sa descente du train, si le dĂ©portĂ© est jugĂ© assez bien portant pour travailler, il est gĂ©nĂ©ralement tatouĂ© le lendemain, mais la rĂšgle n’est pas toujours respectĂ©e. Auparavant, il devra passer par un bĂątiment dit de dĂ©sinfection, surnommĂ© “le sauna” Ă  Auschwitz. Il y sera enregistrĂ©, dĂ©pouillĂ© de tous ses vĂȘtements, de ses Ă©ventuels objets de valeur et du moindre papier ou photographie, puis on lui rasera la tĂȘte et le pubis. AprĂšs une douche, il recevra la tristement cĂ©lĂšbre tenue Ă  un simple numĂ©roLe numĂ©ro incrustĂ© dans la peau Ă©tait l’aboutissement de ce systĂšme parfaitement rĂ©flĂ©chi de dĂ©shumanisation. Le prisonnier n’avait mĂȘme plus de nom mais une “immatriculation” qu’il Ă©tait obligĂ© d’apprendre par coeur afin de la rĂ©citer, en allemand, Ă  chaque appel ou convocation. Pour les Juifs croyants, l’offense s’ajoutait Ă  la souffrance puisque la Torah interdit toute modification irrĂ©versible du corps, donc les tatouages notamment. On sait nĂ©anmoins que l’ĂȘtre humain est capable de s’adapter Ă  tout, y compris Ă  l’enfer sur Terre. Dans son livre emblĂ©matique “Si c’est un homme”, l’Italien Primo Levi, rescapĂ© d’Auschwitz, explique comment certains dĂ©portĂ©s arrivĂšrent Ă  trouver un brin d’humanitĂ© derriĂšre chaque matricule. “Certains d’entre nous se sont peu Ă  peu familiarisĂ©s avec la funĂšbre science des numĂ©ros d’Auschwitz, qui rĂ©sument Ă  eux seuls les Ă©tapes de la destruction de l’HĂ©braĂŻsme en Europe”, Ă©crit Primo Levi. “Pour les anciens du camp, poursuit-il, le numĂ©ro dit tout la date d’arrivĂ©e au camp, le convoi dont on faisait partie, la nationalitĂ©. On traitera toujours avec respect un numĂ©ro compris entre 30 000 et 80 000, il n’en reste que quelques centaines”. Selon plusieurs tĂ©moignages, des gardiens SS semblaient Ă©galement Ă©prouver un certain respect pour les prisonniers qui portaient les numĂ©ros les moins Ă©levĂ©s, preuve de leur endurance Ă  survivre. Parfois, ils leur donnaient une corvĂ©e moins importante ou la faisaient faire par des dĂ©tenus arrivĂ©s plus rĂ©cemment. Environ 400 000 personnes ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es et rĂ©duites Ă  un simple numĂ©ro dans le plus grand camp de la mort mis en place par les nazis, plus de la moitiĂ© y a pĂ©ri. Mais ce bilan effrayant est encore loin de montrer toute l’ampleur de l’extermination, car au total, 1,3 million d’hommes, de femmes et d’enfants sont arrivĂ©s un jour Ă  Auschwitz
 1,1 million n’en sont jamais ressortis vivants. 90% des victimes Ă©taient des Juifs venus de toute l’Europe. Le camp d’Auschwitz n’est qu’un exemple de la monstruositĂ© nazie qui visait Ă  la destruction du peuple juif, appelĂ©e en hĂ©breu la Shoah, la “catastrophe”. La Shoah a fait disparaĂźtre prĂšs de 6 millions de MusĂ©e d’Auschwitz-Birkenau et
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Disponiblesur Amazon Disponible Ă  la Fnac Le 27 janvier 1945, l’armĂ©e Rouge pĂ©nĂštre dans le camp de concentration d’Auschwitz et libĂšre les survivants. Le monde dĂ©couvre un systĂšme d’une barbarie inouĂŻe, jamais vue dans l’histoire de l’humanitĂ© : la » solution finale « , les chambres Ă  gaz et les fours crĂ©matoires. S’a
AccueilArtsFille d’un survivant des camps de concentration, Sara Davidmann confronte son histoire familiale dans un projet photo 2011, Sara Davidmann dĂ©couvre que sa mĂšre a consignĂ©, “avec d’incroyables dĂ©tails”, sa vie entiĂšre dans des journaux et carnets. La mĂȘme annĂ©e, l’artiste prĂ©sente “My Mother’s Notebooks”, sa premiĂšre exposition liĂ©e Ă  sa famille, puis “Ken. To be destroyed”, “l’histoire d’un secret de famille” sur le coming out transgenre d’un membre de sa dix ans, l’artiste allie ainsi son travail crĂ©atif Ă  son histoire familiale. Son dernier projet en date, Mischling1, pĂ©nĂštre plus loin encore dans ses racines et leurs Ă©nigmes. “Ça a commencĂ© avec la dĂ©couverte d’un album photo et de notes Ă©crites en allemand et jamais traduites. Ma cousine Linda en avait hĂ©ritĂ© par sa mĂšre, ma tante Susi. Susi Ă©tait la sƓur de mon pĂšre Manfred. Mon pĂšre et ma tante ont survĂ©cu Ă  la Shoah en fuyant le Berlin nazi Ă  bord du Kindertransport. Ils sont arrivĂ©s en Grande-Bretagne en 1939, mon pĂšre avait 14 ans et ma tante 17”, nous jusque bien aprĂšs la mort de son pĂšre, Sara Davidmann raconte n’avoir “rien su du cĂŽtĂ© juif allemand de [sa] famille”. “Mon pĂšre n’a jamais pu parler de son expĂ©rience d’avoir grandi en tant que jeune garçon juif dans le Berlin nazi, des Ă©vĂ©nements traumatiques vĂ©cus avant son Ă©vacuation, des membres de sa famille tuĂ©s dans la Shoah ou de son Ă©vacuation”, “chapitre trop douloureux Ă  revisiter”, Sara Davidmann a dĂ©cidĂ© de l’empoigner Ă  mains nues aprĂšs avoir dĂ©couvert cet album photo et les notes qui l’accompagnaient. Au fil des pages, l’artiste se sentait plus ou moins liĂ©e aux traits qui apparaissaient devant ses yeux, aux sourires, aux regards de personnes qu’elle ne rencontrera jamais. Elle dĂ©couvrait Ă©galement avec effroi que de nombreux visages disparaissaient des images aprĂšs la Seconde Guerre images d’archive et de sangEn mĂȘme temps que Sara Davidmann partait en quĂȘte de “traces de vie” concernant ces anonymes intimes, elle rĂ©alisait des Ɠuvres rassemblant “des reproductions des photos dĂ©couvertes, des documents et des recherches historiques”. “Elles ne montrent pas seulement l’histoire de ma famille, elles rĂ©vĂšlent Ă©galement la profonde connexion que je ressens par rapport Ă  cette histoire en tant que fille d’un survivant de la Shoah.”Face Ă  ce deuil si particulier, l’artiste a rĂ©alisĂ© des chimigrammes une technique de crĂ©ations d’images Ă  partir de procĂ©dĂ©s chimiques, sans appareil photo mĂȘlant passĂ© et prĂ©sent “Dans la chambre noire, j’ai mĂ©langĂ© mon sang au rĂ©vĂ©lateur photo afin que les tirages soient faits Ă  partir de mon sang, crĂ©ant une connexion directe entre moi-mĂȘme, le passĂ© tel qu’il est perçu Ă  travers les photos et la continuitĂ© de ma lignĂ©e. Des couches de produits chimiques et de sang, de blanchiment photographique, de dessin et de rayures sur la surface ont Ă©tĂ© utilisĂ©es simultanĂ©ment pour effacer et rĂ©vĂ©ler l’image originale.”En plus du blanchiment photo, la photographe explique avoir “utilisĂ© du feu”, un Ă©lĂ©ment “plus extrĂȘme, plus dangereux”, qu’elle ne maĂźtrisait pas toujours. Une pratique importante pour elle, descendante d’une histoire livre photo rĂ©sultant de ce projet, Mischling1, a permis Ă  Sara Davidmann de dĂ©couvrir que, tandis que certains membres de sa famille avaient Ă©tĂ© tuĂ©s Ă  Auschwitz et Theresienstadt, d’autres avaient survĂ©cu et fui Ă  Shanghai, en France ou Ă  Berlin, grĂące Ă  de faux documents. Mais plus que de simplement s’atteler Ă  son histoire personnelle, le projet a une portĂ©e universelle conclut l’artiste “Les rĂ©actions au livre ont Ă©tĂ© trĂšs puissantes. Les lecteurs ont Ă©tĂ© trĂšs Ă©mus. Ça veut dire beaucoup, pour moi, que ce travail touche les gens.”Mischling1 de Sara Davidmann est disponible aux Ă©ditions Gost voir aussi sur Konbini
Unlivre magnifique, constitué par un ensemble de témoignages de femmes ayant survécu à l'enfer de la déportation dans le camp de concentration de Ravensbruck. Le livre est constitué selon différents thÚmes comme la faim dans le camps, les mauvais traitements ou encore les maladies. Un livre trÚs représentatif de la vie dans les camps, à lire absolument !!!
Une victime des expĂ©rimentations nazies montre ses cicatrices lors du procĂšs de Nuremberg, en 1946. DPA/AFP Lui seul pouvait Ă©crire ce livre-lĂ . Michel Cymes n'est pas seulement le prĂ©sentateur du Magazine de la santĂ©, sur France 5, et le chouchou du Zapping, sur Canal+. Il est aussi mĂ©decin et petit-fils de dĂ©portĂ©s. A ce titre, il portait cet ouvrage en lui depuis des annĂ©es. Refusant l'idĂ©e prĂ©conçue que les bourreaux des camps Ă©taient "des ratĂ©s, des praticiens pas trĂšs malins, influencĂ©s par leur environnement et l'idĂ©ologie", il s'interroge "Comment peut-on vouloir Ă©pouser un mĂ©tier dont le but ultime est de sauver des vies, et donner la mort Ă  ceux que l'on ne considĂšre plus comme des ĂȘtres humains?" Des expĂ©riences menĂ©es de maniĂšre "dĂ©sintĂ©ressĂ©e"[...] Nous sommes Ă  la fin de 1946. Le procĂšs de Nuremberg, qui s'est tenu de novembre 1945 Ă  octobre 1946, vient Ă  peine de s'achever que dĂ©bute le procĂšs des mĂ©decins, un des procĂšs qui se sont aussi tenus Ă  Nuremberg. La tĂąche des experts est loin d'ĂȘtre aisĂ©e ils doivent rendre la justice pour des actes que l'Ă©vidence et le sentiment font immĂ©diatement basculer dans l'horreur, l'horreur inqualifiable et inimaginable des expĂ©rimentations sur l'ĂȘtre humain. [...] Les membres de la commission, puis l'auditoire, dĂ©couvrent qu'Ă  Dachau, Sigmund Rascher a fait agoniser des prisonniers dans des piscines glacĂ©es pour mener des recherches sur l'hypothermie; qu'Ă  Buchenwald et Natzwiller les victimes ont Ă©tĂ© infectĂ©es sciemment avec du typhus, du cholĂ©ra et d'autres maladies infectieuses; qu'Ă  RavensbrĂŒck, il s'agissait de casser les genoux des femmes pour mener des expĂ©riences sur les muscles; qu'Ă  Auschwitz, Mengele a eu tout le loisir de donner libre cours Ă  ses fantasmes sur la gĂ©mellitĂ©. [...] A mon souvenir se sont ajoutĂ©s le nĂ©gationnisme, le rĂ©visionnisme, l'"humorisme" nausĂ©abond, toutes les petites phrases entendues, sibyllines, prononcĂ©es de façon anodine "C'est pas bien ce qu'ils ont fait, mais ça a quand mĂȘme fait avancer la mĂ©decine..." Et si c'Ă©tait vrai? Impossible. Dans mon esprit cartĂ©sien scientifique, dans mon petit cerveau de mĂ©decin nourri Ă  l'Ă©thique, l'horreur n'aboutit pas Ă  des avancĂ©es mĂ©dicales. Je me persuadai que de tels tortionnaires Ă©taient tous de petits mĂ©decins, rejetĂ©s par leurs pairs, ridiculisĂ©s par la facultĂ© et qui avaient trouvĂ©, enfin, les moyens de prouver qu'on se trompait sur eux. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement [...] Une autre idĂ©e prĂ©conçue est que ces expĂ©riences n'aient eu aucune utilitĂ©. Il est vrai que, d'un point de vue mĂ©thodologique, elles ne sont pas "reproductibles" et que, d'un point de vue statistique, elles ne sont pas reprĂ©sentatives le panel est "trop" restreint. En outre, ces expĂ©riences n'apprirent rien que l'on ne sĂ»t dĂ©jĂ  sur l'hypothermie, la mescaline, la consommation d'eau salĂ©e, l'Ă©volution des plaies ouvertes ou le dĂ©roulement des maladies infectieuses jusqu'Ă  la mort. Toutefois, les rĂ©sultats n'ont pas tous Ă©tĂ© inexploitĂ©s, Ă  dĂ©faut d'ĂȘtre inexploitables. Huit des 23 mĂ©decins ou infirmiĂšres jugĂ©s au procĂšs de Nuremberg, le 21 novembre 1946, pour des expĂ©rimentations contraire au serment d'Hippocrate sur des prisonniers de camps de / AFPTorturer l'homme pour Ă©pargner les bĂȘtes[...] L'Ă©lĂ©ment le plus intĂ©ressant, pour comprendre, est Ă  mes yeux les arguments que les mĂ©decins ont donnĂ©s pour leur dĂ©fense lors du procĂšs. Naturellement, je ne crois pas qu'ils soient justes, mais ils tĂ©moignent de leur vĂ©ritĂ©, de l'histoire, dont ces mĂ©decins voulaient qu'elle soit crue, Ă  commencer peut-ĂȘtre par eux-mĂȘmes. Certes, il s'agissait de sauver sa peau, mais aussi peut-ĂȘtre de sauver son Ăąme. Leurs arguments sont au nombre de sept le caractĂšre obsolĂšte du serment d'Hippocrate, l'analogie avec les expĂ©riences menĂ©es aux Etats-Unis, la responsabilitĂ© du totalitarisme hitlĂ©rien, le caractĂšre dĂ©sintĂ©ressĂ© des chercheurs, le souhait d'amĂ©liorer le sort de l'HumanitĂ©, la limite des modĂšles animaux expĂ©rimentaux et l'occasion pour les dĂ©tenus de se racheter pour les crimes qu'ils ont commis. [...] Certains de ces arguments inviteraient Ă  rire s'ils n'Ă©taient Ă  pleurer, de rage et de dĂ©goĂ»t. Le pire est sans doute celui concernant l'impossibilitĂ© de mener des expĂ©riences sur les animaux. DĂšs 1933, dans la droite ligne de la lubie vĂ©gĂ©tarienne de Hitler, une loi interdit d'infliger de mauvais traitements et de la souffrance aux animaux. Ainsi, les mĂ©decins, en torturant des hommes, Ă©pargnaient des bĂȘtes, et respectaient la loi. Ils n'Ă©taient que des exĂ©cutants "vous, les mĂ©decins, n'ĂȘtes que les instruments", disait Himmler. En plus, ils n'agissaient pas de maniĂšre intĂ©ressĂ©e. C'est vrai, ces expĂ©riences n'ont pas rapportĂ© un kopeck, au moins durant la guerre. Une polonaise, issue du camp de concentration nazi de Ravensbruck, au nord de Berlin, en Allemagne, tĂ©moigne par ses cicatrices des horreurs orchestrĂ©es par des mĂ©decins, alors jugĂ© au procĂšs de Nuremberg, le 21 novembre / AFPLes femmes, elles aussi, bons petits soldats du ReichAu procĂšs de Nuremberg, l'infirmiĂšre Herta Oberheuser explique "Pour une femme, en Allemagne, il Ă©tait pratiquement impossible d'entrer dans un service de chirurgie. Il a fallu que j'arrive au camp de concentration de RavensbrĂŒck pour en avoir l'occasion" [...] Ses "interventions" dĂ©passent l'entendement. A coups de marteau, les os de la jambe sont cassĂ©s. Puis les plaies sont infectĂ©es avec des staphylocoques, des streptocoques, des morceaux de bois, des Ă©clats de verre, tout ce qui passe entre les mains de ces mĂ©decins-bourreaux. Ce sont des morceaux d'os des jambes longs de plusieurs centimĂštres qui sont enlevĂ©s. Le but? Tester des mĂ©dicaments. [CondamnĂ©e au procĂšs de Nuremberg Ă  vingt ans de prison "seulement"], elle est libĂ©rĂ©e de la prison de Landsberg [BaviĂšre, ndlr] en 1952, sa peine ayant Ă©tĂ© rĂ©duite. Le bon petit soldat du Reich reprend du service et s'installe comme pĂ©diatre dans un modeste village du Schleswig-Holstein, Stocksee. Elle y coule des jours paisibles, pĂšse, mouche, conseille et vaccine jusqu'en 1956, date Ă  laquelle elle est reconnue par d'anciennes dĂ©tenues de RavensbrĂŒck. Il faudra l'intervention du ministre de l'IntĂ©rieur de ce Land pour qu'elle soit interdite d'exercice, en aoĂ»t 1958. Rien n'arrĂȘte cette femme dĂ©terminĂ©e et la volontĂ© triomphe elle va en appel et obtient la rĂ©vocation de la dĂ©cision le 28 avril 1961. [Elle mourra dans une maison de retraite en 1978]. Des expĂ©rimentateurs toujours Ă  l'oeuvre aprĂšs la guerre[...] Avec la science telle qu'elle a Ă©tĂ© dĂ©formĂ©e par l'idĂ©ologie du IIIe Reich, Hippocrate est descendu aux enfers au lieu de soigner, cette anti-mĂ©decine tue. Elle ne sait pas faire autrement, en voici une ultime preuve vous souvenez-vous du scandale de la thalidomide? C'Ă©tait en 2008, mais l'affaire remonte aux annĂ©es 1950. Aux futures mĂšres [...], on promettait une nouvelle libĂ©ration un produit miracle permettait de supprimer les nausĂ©es de dĂ©but de grossesse. Le "mĂ©dicament" s'appelait Contergan, ses enfants sont nĂ©s avec des malformations si monstrueuses que je prĂ©fĂšre ne pas les citer. La paternitĂ© de ce poison revient Ă  Richard Kuhn [l'inventeur du gaz Soman] et Ă  l'entreprise IGFarben [qui produisit le Zyklon B]." Hyppocrate aux enfers, les mĂ©decins des camps de la mort de Michel Cymes, aux Ă©ditions Stock, 208 pages, 18,50 Stock Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris VallĂ©eLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux
\n \n \nmeilleur livre sur les camps de concentration
Sansdoute parce qu'il est paru en 1953, ce livre a été mis en évidence comme un ouvrage sur la résistance et les camps de concentration, comme l'indique ce malheureux dos de couverture dont il est affublé. En réalité, les camps occupent le dernier quart du livre, et la résistance le quart d'avant. Mais toute la premiÚre moitié de cet
Cette liste ne prĂ©tend pas ĂȘtre complĂšte. On estime en effet que les nazis ont créé plus de camps dans les territoires occupĂ©s. Il y eu de nombreux petits camps qui eurent une existence trĂšs courte, parce que construits Ă  l'occasion d'opĂ©rations ponctuelles contre les populations locales. D'autre part, il manque Ă  cette liste les nombreux camps de prisonniers construits en Russie, camps de prisonniers dans lesquels les conditions de vie Ă©taient en tout point comparables Ă  celles existant dans les pires camps de concentration. Enfin, cette liste ne comprend pas les nombreux ghettos que les nazis ont imposĂ©s dans les territoires occupĂ©s, et ce bien que nombre de ces ghettos - comme par exemple Theresienstadt - aient eu leurs propres kommandos Ă©quipe de travail extĂ©rieurs. Cette liste est basĂ©e sur les informations contenues dans deux ouvrages - Le livre de Ludo Van Eck parut en 1979 aux Ă©ditions Kritak Belgique "Le livre des Camps" Ă  ma connaissance jamais rééditĂ© mais il est encore possible de l'acheter au musĂ©e de Breendonck, Belgique - Le livre de Martin Gilbert paru en 1992 aux Ă©ditions de l'aube/Samuelson, "Atlas de la Shoa". Nos plus chaleureux remerciements Ă  Mark Vadasz et Andreas Baumgartner pour l'aide si prĂ©cieuse qu'ils nous ont apportĂ© pour la rĂ©alisation de cette liste.
Campsde concentration. ‎‎ ‎Camps de concentration.‎ All books of this bookseller 5 book(s) with the same title PDF ‎Office français d'Ă©dition.1946.In-8 demi-reliĂ© avec bandeau de cuir.Photos. ‎
Dans Le rapport Auschiwtz », Peter Bebjak raconte l’histoire de deux juifs slovaques dĂ©portĂ©s Ă  Auschwitz en 1942, qui ont rĂ©ussi Ă  s’évader du camp de concentration le 10 avril 1944. Alfred Wetzler NoĂ«l Czuczor et Walter Rosenberg Peter Ondrejička sur le chemin de la libertĂ© - Photo DNA_Production PubliĂ© 26 Juillet 2022 Ă  14h54 Temps de lecture 2 min C’est la montĂ©e de l’extrĂȘme droite en Slovaquie et dans toute l’Europe qui a incitĂ© Peter Bebjak Ă  revenir sur cette pĂ©riode tragique oĂč les nazis bafouaient les droits de l’homme. Le Rapport Auschwitz raconte l’histoire Alfred Wetzler NoĂ«l Czuczor et Walter Rosenberg Peter Ondrejička, juifs slovaques dĂ©portĂ©s Ă  Auschwitz en 1942, qui ont rĂ©ussi Ă  s’évader du camp de concentration le 10 avril 1944. player_gen_cmedia=19592247&cfilm= RĂ©vĂ©ler au monde Il s’agit donc de raviver nos mĂ©moires comme l’ont fait dĂ©jĂ  en 1993 l’AmĂ©ricain Steven Spielberg avec La Liste de Schindler Oscar du Meilleur fil, et plus rĂ©cemment, en 2015, le Hongrois LĂĄszlĂł Nemes avec Le Fils de Saul Oscar du Meilleur film Ă©tranger et Grand Prix du Festival de Cannes. Le rĂ©alisateur slovaque rappelle que les deux hommes n’ont pas fui pour sauver leur peau, mais pour rĂ©vĂ©ler au monde ce qui se passait dans les camps de la mort. Et le plus dur aura Ă©tĂ© de convaincre les alliĂ©s. À noter que les hĂ©ros de Peter Bebjak ne sont pas seulement ces deux Ă©vadĂ©s, mais tous ces hommes dont il filme les supplices sans fioriture. Lire aussi CinĂ©ma. Christophe Beaugrand double un type pas sympa dans le troisiĂšme volet de Tad l’explorateur » La sĂ©lection DVD de la rĂ©daction Goliath » et Abuela » Sortie cinĂ© Leila et ses frĂšres », jeu de massacre en famille Poursuivez votre lecture sur ces sujets CinĂ©ma CinĂ©ma Slovaquie Steven Spielberg Festival de Cannes 0HEl.
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