Lecamp servit aussi de lieu d'exécution de 107 résistants. Ce taux de mortalité de 40% le place «parmi les plus meurtriers du systÚme
© EP Media - 2015 Genre Histoire Parution One shot Tome 1 Identifiant 498 Origine Europe Langue Français Forum Discuter de la sĂ©rie dans les forums Quelque part en ex-Yougoslavie. Le vieux Kazik et sa femme se souviennent d'Auschwitz... Quand en mars 1944, ils dĂ©couvrent que la barbarie revĂȘt une forme humaine celle du bourreau nazi. PremiĂšre bande dessinĂ©e rĂ©aliste sur la Shoah, ce rĂ©cit bouleversant, directement inspirĂ© des tĂ©moignages des survivants du camp d'Auswitz-Birkenau, raconte le quotidien du camp d'extermination. L'auteur ne cherche pas Ă rĂ©sumer la Solution Finale ni Ă dĂ©velopper de thĂšse historique, mais souhaite sensibiliser les nouvelles gĂ©nĂ©rations au devoir de mĂ©moire. Pour ne jamais oublier les millions de victimes du nazisme. UnrĂ©cit bouleversant. Les dispositifs vidĂ©o les plus simples sont parfois les plus efficaces. Ă lâoccasion des 75 ans de la libĂ©ration des camps de Le nazisme nâĂ©tait pas quâune histoire dâhommes. EngagĂ©es volontaires ou infirmiĂšres ayant fait le choix de se livrer Ă la pire barbarie, de nombreuses femmes ont participĂ© aux crimes contre lâhumanitĂ© perpĂ©trĂ©s par le rĂ©gime, alors mĂȘme que leur refus ou leur mise en retrait nâaurait pas constituĂ© un danger pour leur vie. Un bouquin, les Furies dâHitler qui nâest pas le titre dâun film porno, de Wendy Lower, revient sur le parcours de nombre de femmes tortionnaires. 1. Irma Grese On surnommait Irma La hyĂšne dâAuschwitz, et non pas Madame Roudoudou, par exemple, ou Chaton dâamour, et yâa une raison à ça. Irma Grese a Ă©tĂ© formĂ©e Ă bonne Ă©cole, par Dorothea Binz au camp de Ravensburk. MutĂ©e Ă Auschwitz en tant que surveillante-chef, elle donne toute la mesure de son talent en faisant preuve dâun sadisme terrifiant elle choisit des femmes plus jolies quâelle et leur fait couper les seins avant de les laisser souffrir dâinfection pour pouvoir les avoir sous sa coupe. Grese Ă©tait excitĂ©e sexuellement par leur souffrance. Grese abusait sexuellement certaines dĂ©tenues et pratiquait des assassinats sommaires. Elle a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 1945 et exĂ©cutĂ©e par pendaison. 2. Maria Mandl Autre gardienne dâAuschwitz, Maria Mandl, la bĂȘte dâAushwitz », avait elle une prĂ©fĂ©rence pour lâassassinat des enfants. Elle choisissait avec soin ceux qui devaient aller prendre une douche de gaz. Elle torturait Ă©galement les femmes avec beaucoup de mĂ©ticulositĂ© et prenait plaisir Ă les voir agoniser de douleur. Elle avait plaisir Ă punir des gens qui nâavaient rien fait de mal. ArrĂȘtĂ©e Ă la libĂ©ration, elle a Ă©tĂ© pendue en 1948 Ă Cracovie. 3. Erna Petri Petri Ă©tait une femme dâofficier SS et nâexerçait pas Ă proprement parler de fonction dans lâappareil nazi. EnvoyĂ©e au Pologne avec son mari, elle tombe un jour sur un groupe de 6 enfants morts de faim en rentrant des courses. Toute gentille, elle leur offre un peu Ă manger et se rend compte quâil sâagit dâenfants Ă©vadĂ©s dâun camp de concentration. Elle les emmĂšne alors dans la forĂȘt sous prĂ©texte de les cacher et les abat un Ă un dâune balle dans la nuque. Elle a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 1962 Ă une peine de prison Ă vie. 4. Johanna Altvater, dite "Frau Hanna" Simple secrĂ©taire, Johanna Altvater a sĂ©vi en Ukraine avec beaucoup de sĂ©rieux. Deux anecdotes la dĂ©finissent particuliĂšrement bien tandis que les nazis mettaient les ghettos Ă sac, Johanna Altvater sâest rendu dans un dispensaire mĂ©dical qui accueillait des enfants. LĂ , elle a pris soin de bien choisir son gamin de prĂ©dilection pour lâemmener au troisiĂšme Ă©tage et le jeter par la fenĂȘtre. A un autre moment, elle a attirĂ© un tout petit enfant Ă elle en lui promettant des bonbons avant de le saisir par les pieds devant ses parents et de lui fracasser le crĂąne contre un mur Ă grands coups. Le tout de son propre chef, sans avoir reçu aucun ordre. 5. Liesel Willhaus Encore une sympathique petite dĂ©conneuse. Liesel Willhaus, femme de commandant nazi, asseyait sa petite fille Ă ses cĂŽtĂ©s tandis quâelle organisait des lĂąchers de juifs » dans le jardin de sa somptueuse villa et les tirait comme des lapins avec un fusil. Elle invitait les femmes de la meilleure sociĂ©tĂ© Ă la rejoindre dans cette activitĂ© on ne peut plus rĂ©crĂ©ative. 6. Ilse Koch Epouse du commandant en chef de Buchenwald, la sorciĂšre de Buchenwald » avait une vraie passion pour la torture et les souvenirs. Elle conservait ainsi des coupes anatomiques de prisonniers quâelle gardait et sâĂ©tait mĂȘme construit un presse-papier avec la tĂȘte miniaturisĂ©e dâun officier russe. Ilse Koch choisissait les prisonniers tatouĂ©s quâelle souhaitait voir mourir pour ensuite pouvoir arracher les morceaux de leur peau abritant des tatouages et complĂ©ter sa collecâ. Ilse Koch a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă la prison Ă vie en Allemagne de lâOuest, quelques annĂ©es aprĂšs la fin de la guerre. CrĂ©dits photo Domaine Public unknown soldier or employee of the Army Signal Corps 7. Gertrude Segel Comme Wiilhaus, Segel, mariĂ©e au commandant SS Felix Landau, avait une trĂšs jolie villa. VoilĂ ce que racontent des tĂ©moins sur les activitĂ©s auxquelles elle sâadonnait en juin 1942, alors que des jardiniers juifs Ă©taient occupĂ©s Ă travailler dans leur jardin, Felix Landau et Gertrude Segel se saisirent dâune carabine et sâinstallĂšrent, en tenue de bain, Ă leur balcon. Ils commencĂšrent Ă tirer des pigeons, mais comme ce nâĂ©tait pas assez drĂŽle, ils se mirent Ă viser les jardiniers juifs. Ils en abattirent un, en riant. Segel et Landau picolaient pas mal et chacune de leur sĂ©ance de beuverie se terminait par un petit massacre de juifs. Une activitĂ© comme une autre. 8. Pauline Kneissler InfirmiĂšre en BiĂ©lorussie, Kneissler Ă©tait chargĂ©e de faire des injections Ă des enfants juifs pour les tuer. Elle Ă©tait chargĂ©e de choisir les personnes quâil fallait assassiner et son choix ne se faisait pas uniquement sur des critĂšres mĂ©dicaux elle optait parfois pour des personnes tout Ă fait bien portantes. Kneissler gavait ses proies de morphine avant de les gazer. Mais attention, Ă son procĂšs, elle a dĂ©plorĂ© dâavoir fait ça mĂȘme si, bon, hein, le gaz, ça fait pas souffrir ». 9. Frau Apfelbaum Sous lâautoritĂ© du Commissaire Hanweg, en BiĂ©lorussie, cette frau Apfelbaum organisait des chasses au Juifs dans la forĂȘt de Lida avec lĂącher façon lapins et tout et tout. A. LA. COOL. 10. Dorothea Binz EngagĂ©e volontaire dans la SS Ă 19 ans, Dorothea Binz Ă©tait lâune des superviseuses du camp pour femmes de Ravensbruck. VĂ©ritable Ăąme du camp, Binz a notamment Ă©tĂ© en charge du dĂ©partement torture et assassinat ça devait pas sâappeler comme ça, et Ă©tait connue pour sa propension Ă choisir les femmes les plus faibles ou les plus effrayĂ©es avant de les rouer de coups. Câest Ă©galement Ă elle que lâon doit la formation des pires gradĂ©es nazies, dont Ruth Neudeck connue pour avoir tranchĂ© la gorge dâune femme avec une pelle, par exemple, ou encore Irma Grese. Estil vrai que les dĂ©tenus des camps de concentration nationaux-socialistes se soient laissĂ©s conduire comme des moutons Ă l'abattoir, qu'ils aient supportĂ© passivement la tyrannie de gardiens trĂšs infĂ©rieurs en nombre? Non,Par JoĂ«l Chatreau âą Mise Ă jour 26/01/2015 Le camp dâAuschwitz-Birkenau, libĂ©rĂ© par lâArmĂ©e rouge il y a 75 ans â le 27 janvier 1945 â est le plus fort symbole de lâextermination des Juifs, des Tziganes, des Polonais, des SoviĂ©tiques et autres une vingtaine de nationalitĂ©s, orchestrĂ©e par le rĂ©gime nazi Ă lâĂ©chelle industrielle. Il est Ă©galement le seul camp de concentration Ă avoir instituĂ© la plus ignoble des mĂ©thodes dâidentification de ses prisonniers, en les marquant dans leur chair de maniĂšre indĂ©lĂ©bile avec un tatouage. Dans les autres camps Ă©tablis sous le IIIe Reich, les dĂ©portĂ©s avaient leur numĂ©ro de matricule cousu sur le vĂȘtement au niveau de la poitrine. Câest au dĂ©but de lâannĂ©e 1943 que le commandant dâAuschwitz, Rudolf Höss, dĂ©cida de faire tatouer tous les dĂ©tenus, hommes et femmes, Ă lâexception des seuls 14 juin 1940 est la date qui est considĂ©rĂ©e comme Ă©tant celle du tout dĂ©but de lâactivitĂ© du camp, installĂ© dans des quartiers vidĂ©s de leurs habitants de la ville dâOswiecim, dans le sud de la Pologne. Ce jour lĂ y arriva un premier convoi de 728 prisonniers politiques polonais. Mais ce nâest quâĂ partir de dĂ©cembre 1941 que le tatouage fut âtestĂ©â avant tout sur des dĂ©tenus soviĂ©tiques. ParticuliĂšrement maltraitĂ©s par les gardiens SS, ils mouraient en grand nombre sur 15 000 internĂ©s, seulement mille survĂ©curent et il devenait impossible de les recenser. La premiĂšre mĂ©thode de tatouage se transforma en torture une plaque, percĂ©e dâaiguilles qui formaient les chiffres du matricule, Ă©tait brutalement enfoncĂ©e dans la poitrine du dĂ©portĂ©, puis de lâencre Ă©tait apposĂ©e sur la peau incisĂ©e. A partir du printemps 1942, les Polonais seront soumis au mĂȘme cruel traitement. šTatouage systĂ©matique sur l'avant-bras gaucheCe nâest que le 22 fĂ©vrier 1943, comme lâindique une fiche rĂ©digĂ©e par la Kommandantur dâAuschwitz, que commence le tatouage systĂ©matique des dĂ©portĂ©s, Juifs ou non, qui ont Ă©chappĂ© Ă la mort dans les chambres Ă gaz car ils avaient Ă©tĂ© considĂ©rĂ©s par les SS comme aptes au travail. A cause de lâimmensitĂ© du camp qui, avec ses 47 annexes, finit par sâĂ©tendre sur 40 km2, les nazis estiment que câest le meilleur moyen dâidentifier tous les prisonniers, y compris quand ils meurent. Le numĂ©ro de matricule sera dĂ©sormais tatouĂ© sur lâavant-bras gauche, en gĂ©nĂ©ral sur la partie externe mais aussi, Ă certaines pĂ©riodes, Ă lâintĂ©rieur de lâavant-bras. Ce sont des âschreiberâ, notamment des dĂ©tenus forcĂ©s Ă le faire, qui tatouent chiffre par chiffre Ă lâaide dâ le livre âMĂ©decin Ă Auschwitzâ, le mĂ©decin lĂ©giste Miklos Nyiszli, un Juif Hongrois, raconte âUn prisonnier pratique avec un instrument rempli dâencre un grand nombre de petites piqĂ»res sur mon bras. A la place de ces derniĂšres apparaissent des tĂąches bleutĂ©es et floues. Il me rassure, la peau va sâenflammer un peu, mais cela passera aprĂšs une semaine et les numĂ©ros apparaĂźtront nettement dĂ©tachĂ©sâ. A sa descente du train, si le dĂ©portĂ© est jugĂ© assez bien portant pour travailler, il est gĂ©nĂ©ralement tatouĂ© le lendemain, mais la rĂšgle nâest pas toujours respectĂ©e. Auparavant, il devra passer par un bĂątiment dit de dĂ©sinfection, surnommĂ© âle saunaâ Ă Auschwitz. Il y sera enregistrĂ©, dĂ©pouillĂ© de tous ses vĂȘtements, de ses Ă©ventuels objets de valeur et du moindre papier ou photographie, puis on lui rasera la tĂȘte et le pubis. AprĂšs une douche, il recevra la tristement cĂ©lĂšbre tenue Ă un simple numĂ©roLe numĂ©ro incrustĂ© dans la peau Ă©tait lâaboutissement de ce systĂšme parfaitement rĂ©flĂ©chi de dĂ©shumanisation. Le prisonnier nâavait mĂȘme plus de nom mais une âimmatriculationâ quâil Ă©tait obligĂ© dâapprendre par coeur afin de la rĂ©citer, en allemand, Ă chaque appel ou convocation. Pour les Juifs croyants, lâoffense sâajoutait Ă la souffrance puisque la Torah interdit toute modification irrĂ©versible du corps, donc les tatouages notamment. On sait nĂ©anmoins que lâĂȘtre humain est capable de sâadapter Ă tout, y compris Ă lâenfer sur Terre. Dans son livre emblĂ©matique âSi câest un hommeâ, lâItalien Primo Levi, rescapĂ© dâAuschwitz, explique comment certains dĂ©portĂ©s arrivĂšrent Ă trouver un brin dâhumanitĂ© derriĂšre chaque matricule. âCertains dâentre nous se sont peu Ă peu familiarisĂ©s avec la funĂšbre science des numĂ©ros dâAuschwitz, qui rĂ©sument Ă eux seuls les Ă©tapes de la destruction de lâHĂ©braĂŻsme en Europeâ, Ă©crit Primo Levi. âPour les anciens du camp, poursuit-il, le numĂ©ro dit tout la date dâarrivĂ©e au camp, le convoi dont on faisait partie, la nationalitĂ©. On traitera toujours avec respect un numĂ©ro compris entre 30 000 et 80 000, il nâen reste que quelques centainesâ. Selon plusieurs tĂ©moignages, des gardiens SS semblaient Ă©galement Ă©prouver un certain respect pour les prisonniers qui portaient les numĂ©ros les moins Ă©levĂ©s, preuve de leur endurance Ă survivre. Parfois, ils leur donnaient une corvĂ©e moins importante ou la faisaient faire par des dĂ©tenus arrivĂ©s plus rĂ©cemment. Environ 400 000 personnes ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es et rĂ©duites Ă un simple numĂ©ro dans le plus grand camp de la mort mis en place par les nazis, plus de la moitiĂ© y a pĂ©ri. Mais ce bilan effrayant est encore loin de montrer toute lâampleur de lâextermination, car au total, 1,3 million dâhommes, de femmes et dâenfants sont arrivĂ©s un jour Ă Auschwitz⊠1,1 million nâen sont jamais ressortis vivants. 90% des victimes Ă©taient des Juifs venus de toute lâEurope. Le camp dâAuschwitz nâest quâun exemple de la monstruositĂ© nazie qui visait Ă la destruction du peuple juif, appelĂ©e en hĂ©breu la Shoah, la âcatastropheâ. La Shoah a fait disparaĂźtre prĂšs de 6 millions de MusĂ©e dâAuschwitz-Birkenau et
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Unlivre magnifique, constitué par un ensemble de témoignages de femmes ayant survécu à l'enfer de la déportation dans le camp de concentration de Ravensbruck. Le livre est constitué selon différents thÚmes comme la faim dans le camps, les mauvais traitements ou encore les maladies. Un livre trÚs représentatif de la vie dans les camps, à lire absolument !!!
Cette liste ne prĂ©tend pas ĂȘtre complĂšte. On estime en effet que les nazis ont créé plus de camps dans les territoires occupĂ©s. Il y eu de nombreux petits camps qui eurent une existence trĂšs courte, parce que construits Ă l'occasion d'opĂ©rations ponctuelles contre les populations locales. D'autre part, il manque Ă cette liste les nombreux camps de prisonniers construits en Russie, camps de prisonniers dans lesquels les conditions de vie Ă©taient en tout point comparables Ă celles existant dans les pires camps de concentration. Enfin, cette liste ne comprend pas les nombreux ghettos que les nazis ont imposĂ©s dans les territoires occupĂ©s, et ce bien que nombre de ces ghettos - comme par exemple Theresienstadt - aient eu leurs propres kommandos Ă©quipe de travail extĂ©rieurs. Cette liste est basĂ©e sur les informations contenues dans deux ouvrages - Le livre de Ludo Van Eck parut en 1979 aux Ă©ditions Kritak Belgique "Le livre des Camps" Ă ma connaissance jamais rééditĂ© mais il est encore possible de l'acheter au musĂ©e de Breendonck, Belgique - Le livre de Martin Gilbert paru en 1992 aux Ă©ditions de l'aube/Samuelson, "Atlas de la Shoa". Nos plus chaleureux remerciements Ă Mark Vadasz et Andreas Baumgartner pour l'aide si prĂ©cieuse qu'ils nous ont apportĂ© pour la rĂ©alisation de cette liste.
Campsde concentration. ââ âCamps de concentration.â All books of this bookseller 5 book(s) with the same title PDF âOffice français d'Ă©dition.1946.In-8 demi-reliĂ© avec bandeau de cuir.Photos. âDans Le rapport Auschiwtz », Peter Bebjak raconte lâhistoire de deux juifs slovaques dĂ©portĂ©s Ă Auschwitz en 1942, qui ont rĂ©ussi Ă sâĂ©vader du camp de concentration le 10 avril 1944. Alfred Wetzler NoĂ«l Czuczor et Walter Rosenberg Peter OndrejiÄka sur le chemin de la libertĂ© - Photo DNA_Production PubliĂ© 26 Juillet 2022 Ă 14h54 Temps de lecture 2 min Câest la montĂ©e de lâextrĂȘme droite en Slovaquie et dans toute lâEurope qui a incitĂ© Peter Bebjak Ă revenir sur cette pĂ©riode tragique oĂč les nazis bafouaient les droits de lâhomme. Le Rapport Auschwitz raconte lâhistoire Alfred Wetzler NoĂ«l Czuczor et Walter Rosenberg Peter OndrejiÄka, juifs slovaques dĂ©portĂ©s Ă Auschwitz en 1942, qui ont rĂ©ussi Ă sâĂ©vader du camp de concentration le 10 avril 1944. player_gen_cmedia=19592247&cfilm= RĂ©vĂ©ler au monde Il sâagit donc de raviver nos mĂ©moires comme lâont fait dĂ©jĂ en 1993 lâAmĂ©ricain Steven Spielberg avec La Liste de Schindler Oscar du Meilleur fil, et plus rĂ©cemment, en 2015, le Hongrois LĂĄszlĂł Nemes avec Le Fils de Saul Oscar du Meilleur film Ă©tranger et Grand Prix du Festival de Cannes. Le rĂ©alisateur slovaque rappelle que les deux hommes nâont pas fui pour sauver leur peau, mais pour rĂ©vĂ©ler au monde ce qui se passait dans les camps de la mort. Et le plus dur aura Ă©tĂ© de convaincre les alliĂ©s. Ă noter que les hĂ©ros de Peter Bebjak ne sont pas seulement ces deux Ă©vadĂ©s, mais tous ces hommes dont il filme les supplices sans fioriture. Lire aussi CinĂ©ma. Christophe Beaugrand double un type pas sympa dans le troisiĂšme volet de Tad lâexplorateur » La sĂ©lection DVD de la rĂ©daction Goliath » et Abuela » Sortie cinĂ© Leila et ses frĂšres », jeu de massacre en famille Poursuivez votre lecture sur ces sujets CinĂ©ma CinĂ©ma Slovaquie Steven Spielberg Festival de Cannes 0HEl.