PhilippeCadet, zone aquacole Lyarne, route du Collet aux. Moutiers-en-Retz. Tél. : 02 51 74 64 17. Ouvert. du lundi au samedi de 9 h à 12 h

Un congrĂšs mondial rĂ©unit actuellement les ostrĂ©iculteurs Ă  Arcachon, autour d'une question sans vraie rĂ©ponse quel est le mal dont souffrent les huĂźtres ? Depuis maintenant 4 ans, des mortalitĂ©s inhabituelles surviennent partout, d'abord les naissains et aujourd'hui chez les adultes. Virus, bactĂ©ries, parasites, rĂ©chauffement des eaux de multiples explications sont huĂźtres creuses sont les plus vendues. Sont-elles en danger ? © JLG/Futura-Sciences Cela vous intĂ©ressera aussiEn 2008, les ostrĂ©iculteurs français ont sonnĂ© l'alerte leurs naissains les larves subissaient des mortalitĂ©s inhabituelles. Depuis, rien ne s'est arrangĂ©, avec des pertes chez les naissains qui se maintiennent Ă  un taux Ă©levĂ© et auxquelles s'ajoute maintenant une surmortalitĂ© chez l'adulte, l'huĂźtre atteignant sa taille commerciale en 2 ou 3 ans. C'est un congrĂšs mondial Oyster World Congress qui leur est actuellement consacrĂ© Ă  Arcachon, des ostrĂ©iculteurs du monde entier venant discuter de leurs s'est penchĂ© sur le problĂšme en mettant en place en 2009 un Observatoire national conchylicole ciblant l'huĂźtre creuse, Crassostrea gigas, la plus vendue. Ses rĂ©sultats donnent la mesure du phĂ©nomĂšne alors que les donnĂ©es historiques montrent qu'entre 1995 et 2007, les taux de mortalitĂ© [dans le naissain] sont restĂ©s stables au niveau national, et situĂ©s aux alentours de 15 % », sur les 14 sites suivis, la mortalitĂ© a brusquement augmentĂ© en 2008 pour atteindre 63 % au niveau national. En 2011, l'Ifremer observe des taux de mortalitĂ© finaux qui atteignent 73 % sur les naissains issus de captage et 43 % sur les naissains issus d'Ă©closerie » Les surmortalitĂ©s des naissains d'huĂźtres creuses Crassostrea gigas, Les rencontres de l’Ifremer, janvier 2012.SurmortalitĂ© des huĂźtres un virus sur le banc des accusĂ©sLes analyses effectuĂ©es dĂ©signent un serial killer le virus OsHV-1 Ostreid Herpes virus 1, sans danger pour l'Homme. Sa prĂ©sence est corrĂ©lĂ©e avec les mortalitĂ©s. Une forme particuliĂšre du virus, et jusque-lĂ  inconnue, baptisĂ©e ÎŒVar, est Ă  peu prĂšs systĂ©matiquement retrouvĂ©e dans les Ă©chantillons de populations ostrĂ©iculteurs accusent aussi les tempĂ©ratures plus Ă©levĂ©es. L'huĂźtre creuse, en effet, n'aime pas l'eau chaude et sa reproduction est liĂ©e Ă  la tempĂ©rature quand elle dĂ©passe 18 °C, ce mollusque bivalve comprend qu'il est temps de produire des gamĂštes. Les chercheurs ont comparĂ© les courbes de tempĂ©ratures observĂ©es Ă  celles des mortalitĂ©s et ce dans diffĂ©rentes rĂ©gions du littoral français. RĂ©sultat une corrĂ©lation dans le cas des abeilles, la cause des mortalitĂ©s d'huĂźtres creuses pourrait ĂȘtre multifactorielle. Pour l'instant, on ne fait que compter les huĂźtres qui meurent trop tĂŽt sans savoir ce qu'il faudrait faire...Les ostrĂ©iculteurs veulent nous rassurer et, en marge de ce congrĂšs mondial, promettent que les prix ne vont pas grimper prochainement donc pas pour les fĂȘtes de fin d'annĂ©e..., comme ce fut le cas en 2008. Mais les surmortalitĂ©s observĂ©es depuis peu chez les huĂźtres adultes vont Ă  coup sĂ»r aggraver les soucis des producteurs. C'est trĂšs inquiĂ©tant toutes les manipulations, comme les mises en bassin, s'accompagnent de mortalitĂ©s d'huĂźtres », explique Ă  l'AFP Jean-Charles Mauviot, directeur du comitĂ© rĂ©gional conchylicole CRC Arcachon-Aquitaine. Dans toutes les rĂ©gions de production, les tonnages produits sont Ă  la baisse. En Bretagne sud, par exemple, la production serait passĂ©e de tonnes en 2008 Ă  tonnes, d'aprĂšs HervĂ© Jenot, prĂ©sident du CRC de cette rĂ©gion qui s'exprimait devant le micro de l' congrĂšs mondial permettra donc de comparer les chiffres français avec ceux des autres pays producteurs et, peut-ĂȘtre, de mieux cerner le ou les coupables...IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?

LescompĂ©titeurs spatiaux sont des ĂȘtres vivants qui viennent se coller sur l’huĂźtre : Les petites moules, les balanes, les crĂ©pidules, les veuses ou ascidies, sont des compĂ©titeurs trophiques et spatiaux. Les prĂ©dateurs sont des ĂȘtres vivants qui se nourrissent d’huĂźtres. Il y a : Le crabe vert qui mange les naissains d’huĂźtres
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Pourcapter naturellement ces naissains, les ostrĂ©iculteurs dĂ©posent des collecteurs sous forme de tubes en plastique ou coupelles. AprĂšs 6 mois, de minuscules coquilles d’huĂźtres sont visibles sur les collecteurs. Elles vont
Occi MarĂ©e, une production d’huĂźtres Ă  Marseillan Producteurs d’huĂźtres Ă  Marseillan depuis 1978, nous accordons beaucoup d’importance Ă  notre production. Nos huĂźtres sont Ă©levĂ©es avec passion et nous pratiquons un processus de production rigoureux, dans le respect de l’huĂźtre. C’est pourquoi la qualitĂ© de notre savoir-faire a Ă©tĂ© rĂ©compensĂ© Ă  de nombreuses reprises lors du salon agricole de Paris. Dans cet article, nous vous proposons une immersion au sein de la production des huĂźtres chez Occi MarĂ©e en 10 Ă©tapes. Étape 1 L’achat de naissains L’achat a lieu en Ă©closerie sur la cĂŽte atlantique puis les naissains sont acheminĂ©s en camion frigorifique. Un naissain mesure entre 12 et 15 mm. *naissain ensemble de jeunes mollusques huĂźtres ou moules qui viennent d’éclore. Étape 2 Le collage Le collage des naissains est rĂ©alisĂ© sur une corde en nylon. Ils sont collĂ©s entre eux par du ciment, sur des plaques nommĂ©es “chantiers”. Le nombre d’huĂźtres obtenues varient selon les annĂ©es et la taille du naissain. Étape 3 Le sĂ©chage AprĂšs 12 heures de sĂ©chage Ă  l’air libre dans le mas*, les cordes sont transportĂ©es par bateau Ă  la table de culture. Les naissains seront alors suspendus Ă  chaque perche et immergĂ©s dans l’eau de l’étang. *mas maison de campagne ou bĂątiment agricole Étape 4 Le dĂ©veloppement L’huĂźtre atteint sa maturitĂ© au bout de 12 mois minimum. Au cours de cette pĂ©riode nous devons protĂ©ger la culture des prĂ©dateurs. Des filets de protection sont alors mis en place afin d’éviter l’attaque des daurades. Étape 5 La rĂ©colte Lorsque les huĂźtres ont atteint une taille adĂ©quate, nous rĂ©coltons la table Ă  l’aide de nos chalands*. Nous sortons les cordes de l’eau Ă  l’aide d’un tapis qui sĂ©pare l’huĂźtre de la corde. Les huĂźtres sont alors stockĂ©es dans des bacs en plastique. *chaland bateau Ă  fond plat Étape 6 Le lavage et le dĂ©troquage Nous sĂ©parons les huĂźtres entre elles Ă  l’aide d’un couteau appelĂ© dĂ©manchoir». Étape 7 La calibreuse Une fois les huĂźtres dĂ©tachĂ©es, elles passent dans une machine appelĂ©e calibreuse». Cette machine permet de peser automatiquement chaque huĂźtre et assure le tri des huĂźtres en fonction de 5 calibres diffĂ©rents, selon le goĂ»t et la demande des consommateurs. Étape 8 Le pochonage Pour finir, les huĂźtres sont replacĂ©es en milieu naturel pour l’affinage. Cette Ă©tape dure environ 2 mois. Étape 9 La purification et l’affinage Suivant les commandes, les ouvriers ostrĂ©icoles rĂ©cupĂšrent les huĂźtres sur l’étang pour ĂȘtre transfĂ©rĂ©es en bassin de purification et d’affinage durant 48h. Étape 10 L’expĂ©dition L’huĂźtre est fin prĂȘte pour ĂȘtre expĂ©diĂ©e sur les diffĂ©rents marchĂ©s nationaux et internationaux. Lesaviez-vous ? Les huĂźtres ne naissent pas toutes en mer comme elles le font naturellement depuis des millions d’annĂ©es. Depuis plus d’une dĂ©cennie, les huĂźtres peuvent naitre en Ă©closerie, des bĂątiments laboratoires avec des bassins fermĂ©s oĂč les parents sont sĂ©lectionnĂ©s. Ils donnent naissance Ă  des centaines de milliers de juvĂ©niles, des naissains qui sont alors
ï»żCe qu’il y a sous la coquillePour choisir des huĂźtres Ă  votre goĂ»t, outre la variĂ©tĂ© et la fraĂźcheur, d’autres ­informations sont Ă  votre disposition. Leur aspect nous renseigne À dĂ©faut de voir Ă  travers les coquilles, l’observation de la bourriche et la lecture de l’étiquette apportent quelques renseignements. D’abord, la forme, plate ou creuse. Les huĂźtres creuses, plus charnues, dĂ©tiennent le quasi-monopole de la consommation. Les plates ou belons, plus petites et dĂ©licates, sont plus rares 1 % des volumes et plus chĂšres. Ensuite, la taille. Le calibre indique le poids de l’huĂźtre par un numĂ©ro, de 0 Ă  5 pour les creuses, et de 000 Ă  5 pour les plates. Plus le chiffre est faible, plus l’huĂźtre est grosse, la n° 3 Ă©tant la plus consommĂ©e. Pour les creuses, les dĂ©nominations spé­ciales » et fines » indiquent le taux de chair. Les spĂ©ciales, beaucoup plus charnues, ont une couleur blanche du fait de rĂ©serves en sucres procurant un goĂ»t particulier
 plus sucrĂ©. Plus onĂ©reuses, elles sont plutĂŽt prisĂ©es par un public de connaisseurs. Les fines sont claires, avec une coloration gris perlĂ©, voire translucides, et ont une note marine et iodĂ©e. Elles se consomment crues. Le goĂ»t d’une huĂźtre dĂ©pendra de la variĂ©tĂ©, mais aussi du milieu dans lequel elle passe ses derniĂšres semaines salinitĂ© de l’eau, nature des planctons
 Ainsi, celles affinĂ©es en pleine mer ont un goĂ»t iodĂ© plus prononcĂ© que celles affinĂ©es en bassins, appelĂ©s claires ». Enfin, la fraĂźcheur. Une huĂźtre doit ĂȘtre lourde, signe qu’elle est restĂ©e fermĂ©e et qu’elle contient de l’eau, donc qu’elle est vivante. La coquille est de prĂ©fĂ©rence brillante. Quelques indices doivent vous alerter si la coquille est entrouverte, et qu’elle ne se referme pas si vous la tapotez, jetez-la. Si le panier est dĂ©trempĂ©, sale, n’achetez pas. AprĂšs l’achat, les huĂźtres peuvent se conserver Ă  une tempĂ©rature comprise entre 5 et 10 °C pendant une bonne dizaine de jours Ă  compter de la date de conditionnement, voire quelques jours de plus au frigo, mais il faut Ă©viter les variations de tempĂ©rature. Au cours de leur existence, les huĂźtres peuvent parcourir des centaines de kilomĂštres. Les larves naissain peuvent ĂȘtre rĂ©coltĂ©es en mer ou provenir d’écloseries. Lors de la phase d’élevage, elles peuvent voyager d’une rĂ©gion Ă  l’autre, voire sĂ©journer en Irlande oĂč les eaux plus froides et moins polluĂ©es amĂ©liorent leur robustesse. Puis vient la phase d’affinage, en claires ou en pleine mer. Des signes d’origine et de qualitĂ© un peu lĂ©gers Une seule IGP existe, la Marennes-OlĂ©ron, dont le cahier des charges se contente d’exiger un affinage final en claires pendant 28 jours ou 14 jours, d’avril Ă  octobre. Les produits Label rouge Fines de claires vertes » et Pousses en claires » sont plus exigeants. On trouve Ă©galement des mentions d’origine, telles que HuĂźtres de Normandie », HuĂźtres de Bretagne », Arcachon Cap Ferret », etc., qui sont des marques collectives dĂ©posĂ©es par les interprofessions. La certification bio existe, son point crucial est la qualitĂ© bactĂ©riologique des eaux. Son cahier des charges interdit la triploĂŻdie 1 mais pas le naissain produit en Ă©closerie cette derniĂšre devant ĂȘtre certifiĂ©e bio. Plusieurs indications sont obligatoires la date de conditionnement ne pas acheter au-delĂ  de 7-8 jours aprĂšs, le numĂ©ro sanitaire de l’établissement qui a conditionnĂ© les huĂźtres, la quantitĂ© dans la bourriche, le calibre, ainsi que la mention fine » ou spĂ©ciale ». On peut y lire des mentions supplĂ©mentaires comme fine de claire », belon »  Les Ă©tiquettes ne disent pas tout ! En revanche, difficile de savoir si les huĂźtres sont diploĂŻdes ou triploĂŻdes 1, exceptĂ© celles commercialisĂ©es en Ă©tĂ©, qui le sont forcĂ©ment, et les spĂ©ciales qui le sont en grande majoritĂ©. Si aucune Ă©tiquette ne le prĂ©cise, il n’est pas indiquĂ© d’oĂč viennent les naissains – ce sera nĂ©anmoins le cas d’ici Ă  quatre ans, puisque la loi Alimentation du 2 octobre 2018 dispose qu’ Ă  partir de janvier 2023, pour les huĂźtres mises sur le marchĂ© sur le territoire français, doit ĂȘtre indiquĂ©e la mention de la provenance du naissain selon qu’il provient d’écloseries ou d’huĂźtres nĂ©es en mer ». 1 Les huĂźtres triploĂŻdes ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es au dĂ©but des annĂ©es 2000. StĂ©riles, donc sans phase laiteuse en Ă©tĂ© causĂ©e par la semence, elles permettent de s’affranchir de la fameuse rĂšgle des mois en R » et d’ĂȘtre dĂ©gustĂ©es toute l’annĂ©e. Autre avantage, elles grossissent plus vite et prĂ©sentent un taux de chair plus important que les diploĂŻdes.
Naissaind'hußtres 11. International trade 1. Matériel 250. Matériel divers 42. Matériel mytilicole 19. Matériel ostréicole 147. Navires 26. Véhicules professionnels 16. Moules 6. Moules marchandes 0. Naissain de moules 6. Parcs et exploitations 95. Exploitations et parcs mytilicoles 0. Exploitations et parcs ostréicoles 95. Services aux entreprises 31. Forums; Actualités;
Guide MICHELINMagazine - Le Guide MICHELINReportages Quelles sont les diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s d’huĂźtres ? Elles peuvent sembler identiques au premier regard une coquille grise et un goĂ»t iodĂ©, voilĂ  qui dĂ©crit globalement toutes les huĂźtres pour un profane. Mais pour les connaisseurs, chaque variĂ©tĂ© d’huĂźtre possĂšde ses propres pour le vin, terroir et variĂ©tĂ© jouent un rĂŽle essentiel dans le domaine des huĂźtres. SalinitĂ©, micro-organismes, composants minĂ©raux
 Tous les aspects de leur environnement affectent leur goĂ»t et leur texture. Imaginez Ă  quel point les cĂŽtes des Etats-Unis diffĂšrent des riviĂšres françaises
 sans parler des eaux lointaines d’Australie. On retrouve aisĂ©ment ces espĂšces dans les cartes des restaurants. Mais pour ceux qui ne savent pas encore les distinguer, voici notre guide des huĂźtres du monde entier et de leurs goĂ»ts respectifs. Les huĂźtres de Kumamoto L’huĂźtre de Kumamoto provient de la baie de Yatsushiro, dans la prĂ©fecture de Kumamoto ; mais aujourd’hui, elle est surtout cultivĂ©e aux Etats-Unis. Plus petite que ses cousines europĂ©ennes, elle possĂšde une coquille profonde et arrondie. Sa chair est lĂ©gĂšrement salĂ©e avec une saveur douce, proche du melon hami, qui fait d’elle l’huĂźtre idĂ©ale pour les dĂ©butants. L’huĂźtre creuse L’huĂźtre creuse du Pacifique est la variĂ©tĂ© la plus commune, car elle est particuliĂšrement tolĂ©rante aux conditions environnementales et se dĂ©veloppe assez rapidement. C’est pourquoi elle s’est exportĂ©e, depuis les cĂŽtes japonaises, jusqu’en AmĂ©rique du nord, en Europe, en Australie et en Nouvelle-ZĂ©lande. Elle est souvent confondue avec la Kumamoto, car ces deux variĂ©tĂ©s sont trĂšs proches en termes de forme et de saveur. L’huĂźtre amĂ©ricaine L’huĂźtre amĂ©ricaine prĂ©sente une forme plus plate et allongĂ©e que l’huĂźtre du Pacifique, et possĂšde un goĂ»t marin prononcĂ©. Les deux variĂ©tĂ©s les plus connues sont la Blue Point, du dĂ©troit de Long Island Etat de New York, et la Wellfleet, provenant du cap Cod, dans le Massachusetts. La premiĂšre est connue pour sa saveur franche, la seconde est apprĂ©ciĂ©e pour sa chaire iodĂ©e, relevĂ©e au final d’un goĂ»t d’algue. L’huĂźtre plate A l’origine, l’huĂźtre plate de Belon provient d’une riviĂšre bretonne du mĂȘme nom ; elle est aujourd’hui protĂ©gĂ©e par un label AOC. De nos jours, l’huĂźtre plate est aussi cultivĂ©e au large des cĂŽtes du Maine et est apprĂ©ciĂ©e pour son goĂ»t unique d’algue et de noisette rehaussĂ© d’une subtile touche minĂ©rale. Les huĂźtres Gillardeau La quantitĂ© d’huĂźtres de Belon Ă©tant limitĂ©e, de nombreux restaurants haut-de-gamme se tournent vers les voluptueuses Gillardeau. Elles possĂšdent une texture unique, Ă  la fois moelleuse et croquante, avec un arĂŽme marin et des notes de noisette. Originaire de Marennes, en France, on les trouve aussi en petites quantitĂ©s en Irlande. La Fine de Claire Plus cĂ©lĂšbre que les deux espĂšces prĂ©cĂ©dentes, la Fine de Claire possĂšde une coquille allongĂ©e, et une chair plus claire au goĂ»t salĂ© et de noisette. Elle aussi est principalement cultivĂ©e Ă  Marennes, oĂč l’on rĂ©partit les huĂźtres, pour l’affinage, en Fine de Claire, SpĂ©ciale de Claire ou Pousse en Claire. Plus les huĂźtres sont affinĂ©es, plus elles sont charnues. L’huĂźtre creuse d’Australie Les eaux australiennes donnent naissance Ă  des huĂźtres diffĂ©rentes des autres. Elles sont plus crĂ©meuses et possĂšdent un goĂ»t minĂ©ral plus prononcĂ©. L’huĂźtre creuse d’Australie se retrouve autour de la baie de Moreton et est gĂ©nĂ©ralement plus petite que les huĂźtres creuses du Pacifique, avec des coloris plus jaunĂątres. L’huĂźtre plate du Pacifique Avec leur coquille toute ronde, les huĂźtres plates du Pacifique sont originaires d’Australie et sont principalement cultivĂ©es sur les cĂŽtes de Tasmanie. Contrairement Ă  leurs cousines creuses d’Australie, elles sont plutĂŽt considĂ©rĂ©es comme des huĂźtres Ă  croissance lente et plutĂŽt fragiles ; il s’agit donc d’un dĂ©lice rare qu’il faut consommer juste aprĂšs la rĂ©colte. Reportages Savourer l’étĂ© tous les secrets de la tomate Ne dites plus jamais rouge comme une tomate ! Ronde, rose, jaune, oblongue, verte, safranĂ©e, noire, zĂ©brĂ©e, cornue, arlequine
 Formes et couleurs plurielles, ingrĂ©dient versatile et adorĂ© de tous, la tomate est le vĂ©gĂ©tal le plus consommĂ© au monde. Mais dilemme lĂ©gume ou fruit ? Pas de quoi en faire des salades ! Les algues en majestĂ©, par Alexandre Gauthier A l’occasion de la JournĂ©e mondiale des OcĂ©ans, le 8 juin, se tenait la symphonie des algues » organisĂ©e conjointement par Ethic Ocean et Relais et ChĂąteaux Ă  laquelle Alexandre Gauthier, le chef du restaurant doublement Ă©toilĂ© La GrenouillĂšre, prenait part. L’occasion pour nous d’évoquer avec lui l’importance des algues dans sa cuisine et plus largement dans le panorama gastronomique des annĂ©es Ă  venir. Tortillas 100% made in France bienvenue au Nixtamalistan A l'image de la baguette française, les fameuses galettes de maĂŻs sont les fiers emblĂšmes de la cuisine mexicaine. Sous ses airs de simple rond de pĂąte, la confection de la tortilla exige la maĂźtrise d'une technique ancestrale, la nixtamalisation. Reportage gourmand dans le restaurant Oxte, Ă  Paris. Parole d'inspecteur confessions d'un gourmet Ils sont la face cachĂ©e du Guide MICHELIN les inspectrices et inspecteurs du Guide MICHELIN sillonnent le territoire au quotidien pour dĂ©nicher les meilleures tables. L'un d'entre eux se confie sur ce mĂ©tier pas comme les autres... JournĂ©e mondiale du thon souvenirs de Tsukiji Market, Ă  Tokyo A l’occasion de la journĂ©e mondiale du thon, promenade nostalgique entre les travĂ©es de Tsukiji Market, le mythique marchĂ© aux poissons de Tokyo, oĂč le thon obĂšse rĂ©gnait en majestĂ©, avant son dĂ©mĂ©nagement en 2018 Ă  Toyosu. Avec, en prime, une recette du chef Kei Kobayashi autour du thon.
Cecollectif regroupe une centaine de producteurs issus de sept bassins ostrĂ©icoles français qui garantissent que leurs naissains (les bĂ©bĂ©s huĂźtres) ont Fruit d’une longue succession d’étapes sur le bassin de La Tremblade, l’huĂźtre Tortillon est un produit certifiĂ© par une IGP ou Indication GĂ©ographique ProtĂ©gĂ©e, Marennes-OlĂ©ron, reconnaissant ainsi la qualitĂ© des naissains d’huĂźtres sont captĂ©s sur les coupelles en Seudre au grĂšs des courants et des alĂ©as climatiques. L’élevage commence et va durer trois ans. Une succession de changement de parc, de poches, de dĂ©troquage sĂ©paration et de tri rythme la croissance des huĂźtres. Elles sont ensuite affinĂ©es en claires. Nous vous proposons trois produits dans le respect des traditions et de la biodiversitĂ©La SpĂ©ciale de ClaireAffinĂ©e en claire pendant 28 jours. Charnue, choisie pour sa forme rĂ©guliĂšre toute en rondeur, elle se caractĂ©rise par son volume en bouche et son remarquable Ă©quilibre de Pousse de Claire ÉlevĂ©e au minimum 4 mois en claire Ă  trĂšs faible densitĂ©, 5 maximum au mÂČ. Cette huĂźtre haut de gamme n’est produite que par des professionnels ce fait, elle bĂ©nĂ©ficie d’un Label Rouge. D’une fermetĂ© croquante, de couleur ivoire avec un goĂ»t de terroir prononcĂ©, la Pousse en Claire est l’HuĂźtre des grandes occasions, celle qui fait le bonheur des connaisseurs et des fins gourmets !La Fine de ClaireAffinĂ©e en claire pendant 28 jours. Peu charnue, son goĂ»t associe subtilement la mer et le terroir.
LaMaison POGET s’est forgĂ© un savoir faire qui s’est aiguisĂ© au fil des annĂ©es.. Pourtant, l’histoire de l’HuĂźtre dans le bassin Marennes-OlĂ©ron dĂ©bute aux premiers jours d’étĂ© oĂč la tempĂ©rature de la mer flirte avec les 25°. Ne manque plus qu’un choc thermique, frĂ©quent et fĂ©cond, dans l’estuaire tempĂ©rĂ© Charentais pour dĂ©clencher la ponte des huĂźtres mĂąles et
Notre dĂ©marche DĂ©couvrez ici notre mĂ©thode de production. Notre culture de l’huĂźtre, Ă©tape par Ă©tape Le naissain ĂągĂ© de 8 mois Les cadres supportent les coupelles captants le naissain Gros plan sur les coupelles Les points noirs sont des huĂźtres ! Le naissain Nos huĂźtres naturelles naissent Ă  Logonna Daoulas oĂč nous avons des coupelles sur lesquelles elles viennent se fixer durant l’étĂ©. Ce naissain est dĂ©collĂ© au printemps suivant. Il est ensuite mis dans des poches ostrĂ©icoles et ramenĂ© sur nos parcs dans la baie de Morlaix. ÂgĂ©es de 8 Ă  9 mois, ces huĂźtres mesurent alors entre 4 et 15 mm. Le crible permet d'effectuer un premier tri des jeunes huĂźtres Les poches sont ensuite replacĂ©es sur les parcs Nous travaillons rĂ©guliĂšrement sur nos parcs Le premier tri A la moitiĂ© de leur croissance, elles sont passĂ©es sur un crible qui permet de faire un premier tri. Elles sont rĂ©parties suivant trois tailles avant d’ĂȘtres remises en poches et ramenĂ©es sur les parcs. Ces huĂźtres mesurent entre 15 et 50 mm. La ligne complĂšte de calibrage des huĂźtres La calibreuse Le calibrage Le saviez-vous ? Le calibrage est rĂ©alisĂ© en fonction du poids de l’huĂźtre et non pas de sa taille. Lorsque les huĂźtres atteignent l’ñge de 3 Ă  4 ans, elles sont pesĂ©es une par une et remises en poches par numĂ©ro de calibre pour ĂȘtre ramenĂ©es sur les parcs en attendant d’ĂȘtre vendues. Lavage final des huĂźtres Gros plan sur le lavage Purification des huĂźtres dans nos bassins en attendant la vente Notre magasin au Dourduff-en-Mer Notre Ă©tal au magasin au Dourduff-en-Mer La finition Avant d’arriver dans votre assiette, les huĂźtres seront lavĂ©es une derniĂšre fois, puis stockĂ©es dans nos bassins de purification jusqu’au jour de la vente. Des huĂźtres surĂ©levĂ©es ? Comme une grande partie de l’ostrĂ©iculture française, notre production se fait en surĂ©levĂ© ». Cette technique consiste Ă  fixer les poches contenant les huĂźtres sur des tables ostrĂ©icoles en fer Ă  bĂ©ton. De cette façon, l’huĂźtre vit au rythme des marĂ©es. Retourner les poches d'huĂźtres ? Les poches sont rĂ©guliĂšrement retournĂ©es au cours de l’étĂ© afin de favoriser la croissance des huĂźtres tout en limitant le dĂ©veloppement des algues. Cette opĂ©ration est rĂ©alisĂ©e Ă  marĂ©e basse, lors des grands coefficients de marĂ©e. Un savoir faire rĂ©compensĂ© En 2010 nous souhaitions valoriser nos huĂźtres. Nous nous sommes alors prĂ©sentĂ©s au concours gĂ©nĂ©ral agricole de Paris. Nous avons Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©s 3 annĂ©es de suite par une mĂ©daille d’or. Le prix d’excellence 2013 nous a Ă©tĂ© dĂ©cernĂ©. Il vient valider notre savoir-faire et conclu ce beau palmarĂšs. Vous souhaitez dĂ©couvrir la baie de Morlaix ? Le vieux grĂ©ement Amzer’zo vous propose des excursions et sorties en mer au dĂ©part de plusieurs ports de la baie. DĂ©couvrez son site ici !
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