Or le bonheur, c’est l’instant présent. Vous présenterez le 15 novembre sur France 2 un nouveau prime time, Leurs secrets du bonheur . C’est décidément un état qui vous obsède! Pour moins d’angoisse vivre l’instant présent Dans cet article, je souhaite vous parler de quelque chose qui m’aide énormément au quotidien. Non d’ailleurs, c’est plus que ça ! C’est quelque chose d’essentiel, de véritablement fondamental à toute vie sereine » . Et cette chose c’est l’instant présent. Bon alors je sais, vous entendez souvent ce genre de choses sous différents noms et du coup cela vous embrouille peut-être. Instant présent, Moment présent, l’Ici et maintenant, la méditation, la pleine conscience … Mais au final, sachez que tous ces concepts signifient plus ou moins la même chose être là, maintenant, dans le moment présent. Pas dans le passé, ni dans le futur, mais là, maintenant, dans le seul instant qui existe réellement. Alors vous vous dites peut-être mais il raconte quoi lui? Moi je suis là maintenant, d’ailleurs comment on peut ne pas être là maintenant… ». Sachez que si vous êtes stressé, anxieux, angoissé, alors vous n’êtes pas dans le présent. Car dans l’instant présent, l’angoisse n’existe pas ! Car au fond, c’est quoi l’angoisse ? C’est une peur liée à un élément futur. C’est le mental qui anticipe quelque chose, qui a peur de quelque chose, oui, mais cette chose se trouve toujours dans le futur ! La peur, l’angoisse, la crainte sont forcément liées au futur. Même si ce futur est dans 5, 10, ou 20 secondes, c’est le futur. En revenant dans l’instant présent, là, maintenant, vous arrivez dans un espace temps où l’angoisse n’existe plus. D’ailleurs, je vous dis que la peur est liée à quelque chose de futur. Mais il est fréquent qu’elle soit déclenchée et accentuée à cause d’un évènement traumatisant lié au passé. La première crise d’angoisse, par exemple, peut être tellement traumatisante que la simple idée que cela puisse se passer à nouveau suffira à nous angoisser. Mais une autre bonne chose, c’est que dans l’instant présent, tous les problèmes liés au passé n’existent plus non plus. Car là maintenant, seul le moment présent existe. D’autres l’ont d’ailleurs dit beaucoup mieux que moi Ce qui est passé a fui; ce que tu espères est absent; mais le présent est à toi. Proverbe arabe Dans le moment présent pas de passé, ni de futur Voici tout ce qui ne peut exister dans le moment présent – Adieu le regret passé – Adieu le remord passé – Adieu le sentiment de culpabilité passé – Adieu la déprime passé – Adieu le tourment passé – Adieu l’angoisse futur – Adieu l’anxiété futur – Adieu le stress futur – Adieu la peur futur … En bref, tout ce qui nous pourrit la vie ! Et si vous revenez dans ce fameux moment présent, alors vos expériences traumatisantes du passé n’existent plus non plus. Vos traumatismes d’enfance, vos plus mauvais souvenirs, vos plus gros échecs, vos plus grandes hontes, vos erreurs… tout cela ne trouve pas de place dans l’instant présent. Alors là si tout se passe bien, vous devriez être en train de vous dire que ce moment présent » pourrait très certainement vous faire du bien Mais c’est bien beau tout ça, mais il reste un petit problème … … … … … Comment on fait ?!! Comment vivre dans l’instant présent ? S’installer dans l’instant présent est assez simple en fin de compte. Il suffit d’être là, totalement conscient de ce que vous faites. Pas besoin de grimper au sommet d’une montagne ou de vous retirer au beau milieu d’une forêt pour ça Pas besoin non plus de s’asseoir en tailleur ni de vous allumer un bout d’encens pour ça Pour être présent, il vous faut être conscient de tout ce qui se passe en vous et autour de vous en ce moment-ci Être présent, c’est être conscient de ses sens Donc pour être conscient, il nous faut prendre conscience de ce qui se passe au niveau de chacun de nos 5 sens – Les éléments tactiles – Les sons – Les odeurs – Les goûts – Et ce tout ce qui touche au visuel Par exemple Pour être 100 % dans le moment présent pendant que j’écris, je devrais à la fois – Être conscient de la sensation de mes doigts avec le clavier, de mes pieds au sol, de la température de la pièce, du contact de mes fesses avec la chaise, de ma posture, de ma respiration, du courant d’air qui me passe sur le visage car la fenêtre est ouverte… – Prendre conscience aussi du son des touches du clavier, du bruit du vent, de la musique que j’ai mis en fond, de mon ventre qui fait du bruit parce que j’ai faim, du bruit de la tondeuse du voisin… – Mais aussi de l’odeur de la bougie parfumée que j’ai allumé pour écrire mixée à l’odeur de mon parfum… – Être conscient aussi du goût de jus de pomme qu’il me reste dans la bouche… – Et prendre conscience enfin de tout ce que je vois autour de moi, formes, couleur, intensité lumineuse, contraste, contour des objets etc… Et tout cela en même temps ! Autant vous dire tout de suite que je ne suis pas à 100% dans le présent ! Déjà, si je suis conscient ne serait-ce que d’un de ces éléments pendant que j’écris, c’est déjà une bonne chose ! Cela veut dire que je suis présent. Peut-être pas très intensément, mais au moins, je ne suis ni dans le passé, ni dans le futur. Je ne m’en demande pas plus pour l’instant. Expérimentez l’instant présent en lisant Essayez pour voir. Faites l’exercice suivant Pendant que vous lisez, prenez aussi conscience du contact de vos pieds sur le sol. Par prendre conscience, je veux dire se concentrer dessus. Lisez en restant attentif à la sensation de vos pieds avec le sol. Vous lisez, mais en même temps, vous pensez aussi un peu à vos pieds Vous lisez, et en même temps vous leur apportez un peu de votre attention, un peu de votre conscience. Et bien voilà, vous êtes en train de lire dans le moment présent Bravo ! Vous pensez toujours à vos pieds ? Et oui, je vous ai félicité, et du coup vous ne pensez plus à vos pieds Aller dans le moment présent, c’est facile en fait. Mais ce qui est un peu plus compliqué, c’est d’y rester ! Rester dans l’instant présent de façon continue demande beaucoup de concentration, de vigilance et de discipline. Il faut pratiquer, pratiquer et pratiquer encore. Petit à petit, le but du jeu est d’apprendre à déjouer tous les pièges du mental. Car notre mental n’aime pas ça l’instant présent ». Lui ce qu’il aime c’est le passé. Il aime bien ruminer le passé notre mental. Ou mieux, le futur. Il adore ça le futur notre mental. Envisager tous les scénarios qui pourraient faire que telle chose se passerait mal ou que telle catastrophe puisse arriver ! Essayer de tout prévoir pour que l’avenir se passe comme il l’entend. Le mental aime tout contrôler. Mais la seule chose qu’il ne contrôle pas, qu’il n’aime vraiment pas, c’est le moment présent. C’est pour ça que rester dans ce présent » est si dur. Car cela fait des dizaines d’années que notre mental a le contrôle sur nous. Il connaît donc tout un tas d’astuces pour nous empêcher de rester conscient, là, dans le moment présent. Le mental va constamment essayer de nous ramener dans le passé ou dans le futur. Et notre objectif à nous, c’est de rester dans le moment présent le plus longtemps possible, et de ne pas nous faire piéger par notre mental. Plus on reste dans ce moment présent » et plus on regagne de l’énergie. Plus on fait des choses en conscience, et plus on affaiblit notre mental. Et plus on affaiblit notre mental, plus on gagne en sérénité et en liberté. Ne prenez pas ce que je vous dis pour vrai, essayez. Pour savoir si vous le faites bien, référez-vous à votre degré de bien-être et de paix intérieure. Si vous avez l’impression de récupérer de l’énergie et d’être plus en paix, alors c’est que vous êtes dans le moment présent. Si vous n’entendez plus la petite voix dans votre tête tellement vous êtes concentré sur ce que vous faites au travers de vos 5 sens, alors vous êtes dans le moment présent. Deux des sensations auxquelles vous pouvez avoir accès en continu pour vous exercer sont votre respiration et vos pieds. Personnellement, à chaque fois que mon mental s’emballe un peu trop, je me concentre intensément sur ma respiration ainsi que sur mes pieds. C’est ce qui me permet de rester bien présent, bien enraciné et de ne pas me faire emporter par l’angoisse. C’est ma façon de me raccrocher au présent. Avec le temps, j’ai acquis un solide ancrage et je sais me raccrocher au présent beaucoup plus facilement. Croyez-moi, je n’exagère pas en vous disant que le présent est mon aide la plus précieuse. Encore une fois, n’oubliez pas que dans le présent, la majorité de vos soucis n’existent plus. Cela nécessite par contre de pratiquer chaque jour. Alors essayez, pratiquez. Entraînez votre muscle de présence » et rendez le robuste. Il sera bientôt votre plus grand allié ! J’imagine que vous venez sur mon blog pour avoir des conseils, des outils sur comment être plus serein si je devais vous en donner un seul, ce serait sans doute le moment présent » ! Pour aller plus loin, je vous recommande 2 livres exceptionnels et je pèse mes mots 1 – La sérénité de l’instant de Thich Naht Hanh. J’ai d’ailleurs fait le résumé de ce livre à deux reprises un court, et un plus long Autant vous dire que je crois fortement en ce livre. Il m’a énormément aidé et peut en aider plus d’un autre, de même que tous les livres du même auteur d’ailleurs. 2 – Et Le pouvoir du moment présent de Eckart Tolle, que je relis en ce moment pour la troisième fois. Si je devais garder un livre sur les 300 que j’ai, ce serait celui-ci. Après avoir lu ce livre, vous ne serez plus le même, je vous le garantis. Voici quelques passages qui m’ont beaucoup parlé Le mental cherche toujours à nier le moment présent et à s’en échapper. Autrement dit, plus on est identifié à son mental, plus on souffre. » Le mental est un magnifique outil si l’on s’en sert à bon escient. Dans le cas contraire, il devient très destructeur. Plus précisément ce n’est pas tant que vous utilisez mal votre mental; c’est plutôt qu’en général vous ne vous en servez pas du tout, car c’est lui qui se sert de vous. » La plus grande partie de la souffrance humaine est inutile. On se l’inflige à soi-même aussi longtemps que, à son insu, on laisse le mental prendre le contrôle de sa vie. » Mais la bonne nouvelle dans tout cela, c’est que vous pouvez effectivement vous libérer du mental. » Si ça vous intéresse, Le pouvoir du moment présent existe en 2 versions Une version très accessible qui coûte autour des 6 euros acheter ce livre sur Amazon Et une version plus chère mais plus agréable à lire à 16-17 euros – acheter ce livre Amazon Précision il existe aussi un second livre, plus orienté pratique » qui est un peu plus simple à lire et donc que certains préfèrent. Ce livre du même auteur s’appelle Mettre en pratique le pouvoir du moment présent . Les 2 livres se complètent de toutes façons assez bien il est aussi disponible en livre audio. Enfin, vous pouvez aussi faire un tour sur l’excellent blog de mon ami Regis dont le nom est …quelle coïncidence … Moment présent. Vous y trouverez beaucoup d’inspiration pour mettre en pratique ce moment présent. Pour finir cet article, voici une autre petite citation sur l’instant présent, que vous pouvez lire tout en pensant à vos pieds ; Occupe-toi du jour présent, car si hier n’est plus qu’un rêve, demain n’est rien qu’une vision. Le jour présent si tu le vis, fera de chaque hier un rêve de bonheur et de ton avenir une vision d’espoir. Alors, occupe-toi du jour présent. Proverbe Sanscrit Pour aller plus loin, lire l’article l’ancrage, une excellente technique pour ceux qui pensent trop. Si ça peut vous motiver à le lire, c’est l’article le plus apprécié du blog ; Levéritable instant présent ne se préoccupe ni du passé, ni du futur, Il est la joie paisible et tranquille de l’âme qui se manifeste dans le quotidien en vivant un instant Lorsque nous, adultes, nous trouvons dans une quête perpétuelle de bonheur et d’apaisement, les enfants eux, vivent naturellement en pleine conscience ! Si nous les imitions, nous pouvons réapprendre à vivre dans l’instant présent et croquer la vie à pleine dents ! La quête de l’instant présent Nous entendons de plus en plus parler de méditation, de pleine conscience, de yoga, de mindfulness… Toutes ces pratiques qui permettent d’être dans “ l’ici et maintenant “, de vivre l’instant présent et d’apprécier pleinement chaque seconde de notre vie. Cette quête est justifiée par le fait qu’il existe un lien direct entre bonheur et instant présent. Et l’instant présent, c’est comprendre que le passé et le futur n’existe pas, et que votre vie est ici est maintenant. C’est comprendre que vous n’êtes pas votre mental. C’est devenir observateur de ses pensées. C’est découvrir le trésor que nous possédons déjà sans le savoir. C’est vivre. Pleinement. Les enfants sont naturellement dans l’instant présent Avez-vous remarqué cette caractéristique commune à tous les enfants ? Ils sont heureux ! Ils se réjouissent d’un rien, sont pressés de se lever le matin et gardent leur enthousiasme toute la journée ! Ils vivent dans le moment présent, tout simplement. En effet, lorsque nous sommes enfant, nous ne sommes pas encore victime du flux de pensées compulsives qui viennent avec l’âge. Ainsi, pour comprendre ce qu’est la pleine conscience, observez tout simplement un jeune enfant, et vous vous apercevrez très vite que la seule chose qui compte pour lui c’est l’instant présent ! Le passé et le futur sont des notions qui n’ont pas ou peu d’emprise sur eux, et seul ce qui se passe maintenant à de l’importance. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont pas encore développé tous les filtres et croyances limitantes qui nous coupent du bonheur. En effet, peu à peu les années passent et arrivent les contraintes, les responsabilités et notre vie se complique. Fini l’insouciance et bonjour les préoccupations. La joie de vivre n’est plus un état permanent. Nous y avons encore accès, heureusement, mais seulement pour de courtes périodes. En effet, contrairement aux enfants, beaucoup de personnes sont devenues incapables de profiter durablement du moment présent. Observez avec quel enthousiasme et sincérité les enfants s’émerveillent devant les petites choses de la vie ne souhaiteriez-vous pas à nouveau revivre avec une telle intensité chaque instant ? Vivre en conscience La bonne nouvelle avec la pleine conscience, c’est que vous pouvez la pratiquer n’importe où, et à n’importe quel moment de la journée. Que ce soit sous la douche, en voiture ou dans votre lit, tout ce que vous avez à faire c’est d’être pleinement présent, et de centrer toute votre attention sur ce que vous êtes en train de faire, et sur les ressentis du moment. Pour en savoir plus sur la pleine conscience Vivre en pleine conscience Surtout, laissez-vous guider par votre instinct pour trouver bien d’autres manières qui vous ressemblent de vivre dans l’instant présent, et inspirez-vous des enfants 🙂 Ce sont nos meilleures guides sur le chemin du moment présent… Source ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
Nepas se poser trop de questions. La première chose à faire pour vivre l’instant présent, c’est de cesser de penser à autre chose lorsque vous faites quelque chose. Cela ne fait que vous submerger dans des pensées négatives telles que la peur, l’angoisse ou encore le stress. Et vous risquerez de multiplier les atermoiements ou de

Cet article m’a été inspiré par Sadia, une diététicienne canadienne anglophone vivant aux Pays-Bas, de la chaîne YouTube Pick up limes » que je suis depuis un certain temps. Dans l’une de ses dernières vidéos, elle parle de la recherche du bonheur. Ce sujet m’a interpellée, car en cette période où certains revendiquent toujours plus, il m’a semblé important de revenir aux fondamentaux. Le bonheur n’est pas qu’une question de biens matériels Pour la plupart d’entre nous, la recherche du bonheur est un désir profond. Certains estiment que quand ils auront atteint un certain niveau de vie professionnelle ou personnelle, le bonheur sera là. Bonheur rime souvent avec aisance matérielle. Nous sommes influencés par ce que nous voyons, ce que nous entendons et ce que nous lisons dans les médias. Notre société qui est basée sur le consumérisme laisse une très grande part à la publicité qui essaie de nous faire croire que plus nous achetons, plus nous serons heureux. Or des économistes ont montré qu’au-delà d’un certain niveau de revenu, le bonheur n’augmentait plus. On peut donc en conclure que le bonheur va avec un certain confort matériel. Il est bien évident que dormir sous les ponts ou ne pas manger à sa faim ne contribue pas au bonheur, tant s’en faut. Cela dit, pour la majorité des Occidentaux, ce problème ne se pose pas, même si, quels que soient le pays et son système d’aides sociales, il y a des inégalités sociales et des personnes qui n’ont pas le minimum vital nécessaire. Toujours plus Pour en revenir à la consommation, les médias, sociaux ou traditionnels nous montrent que si nous possédons tel objet ou si nous faisons telle autre chose, nous serons heureux. L’image envoyée est souvent très édulcorée et idéalisée alors que la réalité est très différente. J’entends parfois des personnes dire qu’elles n’ont pas le temps et qu’elles réservent telle activité pour la retraite. Ces personnes ne vivent probablement pas dans le moment présent, mais se projettent dans un avenir idéalisé. Arrivées à la retraite et dans les cas les plus extrêmes, elles ont bien souvent laissé leurs rêves de jeunesse s’envoler et n’ont finalement pas profité de leur vie. Certes, pour avoir le minium vital, il faut travailler, mais doit-on vivre pour travailler ou travailler pour vivre ? Au jeu du si je fais/achète ceci, alors j’atteindrai le bonheur », nous sommes toujours perdants, car nous ne profitons pas du moment présent. Nous ne profitons pas des petites tranches de bonheur, la plupart du temps non matérielles, qui se présentent à nous. Comme disait la chanson on essaie de nous faire croire que le bonheur est d’avoir ». Parfois, je m’interroge sur la course frénétique à toujours posséder plus que nous voyons en Europe. Pourquoi, quand nous avons atteint un certain confort matériel, vouloir toujours plus ? Bonheur et altruisme Depuis que je pratique la méditation en pleine conscience et le yoga, j’ai réalisé qu’il était très facile de faire entrer du positif dans sa vie et que, finalement, ces petits points positifs finissent par donner des tranches de bonheur. Il est toujours possible de trouver du positif dans sa vie pour peu que nous changions notre regard sur ce qui nous entoure et ceux que nous côtoyons. Le simple fait de dire bonjour », au revoir » et merci » avec le sourire à quelqu’un suffit à éclairer une journée. Nous sommes des êtres sociaux et nous ne pouvons pas toujours nous enfermer dans notre tour d’ivoire. Se comparer en permanence avec les autres et idéaliser sa vie est source de jalousie et de mal-être. Regardez les enfants, ils savent s’étonner de tout et de rien. Pour eux, le moindre objet et source de curiosité et de jeux. Pourquoi avons-nous perdu cette capacité d’émerveillement ? Parce que nous sommes des êtres sociaux et que les messages qui nous parviennent influencent notre comportement. Et que si nous croyons tout ce qui se dit dans les médias, nous risquons de passer à côté de beaucoup de choses. Si nous ne nous posons pas dans l’instant présent, au moins de temps en temps, nous risquons de ne pas apercevoir ce rayon de soleil, cette fleur dont la beauté ne sera peut-être plus là demain, ce sourire d’une personne que nous croisons dans la rue. Profiter de l’instant présent, que ce soit en méditant ou en contemplant ce qui nous entoure permet de nous déconnecter temporairement de cette course frénétique au toujours plus ». Se poser dans l’instant présent permet – d’apprécier ce que nous avons déjà, que ce soit matériel ou immatériel,– de se reconnecter avec soi-même, avec son soi profond, loin des apparences,– tout simplement prendre soin de soi. Et en prenant soin de soi, il sera ensuite possible de prendre soin des autres et de vivre pleinement sa vie d’être humain, une vie sociale et enrichissante. Références La vidéo de Sadia en anglais, sous titres en français à venir, je pense Le bonheur et l’argent l’article original en anglais se trouve dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, en anglais, pour celles et ceux qui voudraient le chercher Crédits graphiques Happiness » by Swamibu is licensed under CC BY-NC

Le Bonheur, c'est savoir savourer l’instant présent sans ce soucier du passé ou de l’avenir. Infolettre Advitae. Abonnez-vous gratuitement à l'infolettre Advitae . Recevrez les dernières parutions et Ce qui est passé a fui, ce que tu espères est absent mais le présent est à toi. Proverbe arabe “Un homme s’approche d’un ancien et lui dit – On m’a dit que tu es sage… S’il te plaît, dis-moi quelles sont les choses que peut faire un sage qui ne sont pas à la portée de tout le monde. L’ancien lui répond – Quand je mange, je mange; quand je dors, je dors; et quand je parle avec toi, je parle avec toi. – Mais enfin, ça aussi je peux le faire et je ne suis pas sage pour autant, lui répond l’homme surpris. – Je ne le crois pas, lui réplique l’ancien. Parce que quand tu dors, tu te remémores les problèmes que tu as eu au cours de la journée ou tu imagines ceux que tu pourrais avoir au réveil. Quand tu manges, tu planifie ce que tu vas faire plus tard. Et pendant que tu parles avec moi, tu penses à ta prochaine question où à ce que tu vas me répondre, avant que j’ai terminé de parler. Le secret, c’est d’être conscient de ce que nous faisons dans le moment présent et ainsi profiter pleinement à chaque instant du miracle de la vie.” Anthony de MelloVivre l’instant présentNous avons souvent besoin de calmer notre esprit et de stopper l’agitation ou ce dialogue interne incessant à laquelle nous sommes habitués, pour pouvoir atteindre la avons tous connu ce monologue dans notre tête, caractérisé par une vague de pensées continue qui nous fait réfléchir de façon excessive à notre passé et notre futur, nous empêchant de voir ce qui se passe au moment pensées et des pensées qui se confrontent dans tous les sens jusqu’à former un bloc qui, la plupart du temps, ne fait qu’accentuer nos problèmes plutôt que de les des conséquences de la prédominance de ce “bloc de pensées” est qu’il nous écarte constamment du moment présent et qu’il nous empêche de vivre la réalité de chaque instant; car nous nous sentons incapables de profiter de ces moments, et de ce que la vie nous qui est fait, est fait et nous ne pouvons rien y changer. Et même si c’est une bonne chose de prévoir raisonnablement son avenir, il ne peut non plus être réalité, l’instant présent est la seule chose qui compte. Il faut en profiter au maximum et en tirer tous les bénéfices des bons moments et apprenons à les apprécier. Cherchons la magie dans chacun des moments, le petit trésor enfoui dans chaque instant, et apprenons à vivre à publiée avec l’aimable autorisation de Francois Tornier
Lapeur, l’angoisse, la crainte sont forcément liées au futur. Même si ce futur est dans 5, 10, ou 20 secondes, c’est le futur. En revenant dans l’instant présent, là, maintenant, vous arrivez dans un espace temps où l’angoisse n’existe plus. D’ailleurs, je vous dis que la peur est liée à quelque chose de futur.
11h44 , le 6 novembre 2011 , modifié à 11h03 , le 19 juin 2017 Paru dans leJDD Les Bourses décrochent, la Grèce flambe, la France entame une campagne électorale qui s’annonce âpre. Frédéric Lopez, lui, fait rêver des milliers de téléspectateurs en les emmenant au cœur des rizières vietnamiennes, dans une contrée reculée de habitants. Mardi soir, sur France 2, le seizième numéro de Rendez-Vous en terre inconnue – émission qu’il produit et présente – a séduit 7,7 millions de téléspectateurs, la meilleure audience de l’année pour la chaîne. Les aventures du rugbyman Frédéric Michalak parti à la rencontre des Lolo noirs, au nord-est du pays, ont intrigué et ému, comme celles de Virginie Efira chez les Tsaatans de Mongolie il y a un an. Attablé dans un café du 2e arrondissement, à Paris, le quadragénaire tente de décrypter les raisons de ce succès et ce qu’il dit de notre société. Avec la modestie qui le caractérise, et beaucoup de recul sur les raisons qui font le succès de l’émission depuis sept ans?C’est resté un mystère pendant longtemps. J’ai mis trois ans à le comprendre. Ce programme n’est pas un rendez-vous fixe, il n’est ni hebdomadaire, ni mensuel. Nous allons à l’encontre des codes actuels de la télévision. Il n’y a pas d’exclusion, ni d’enfermement, rien n’est écrit à l’avance. Lorsque nous partons en tournage, notre programme tient sur une feuille de papier! Dans la rue, on m’arrête pour me dire "Merci, votre émission fait du bien". Sans doute parce qu’elle donne un sentiment fort d’appartenance au genre dit, quelque chose sur la crise actuelle?Notre monde fait peur. Plus que jamais, l’Occident manque de repères. Les idéologies se sont effondrées. Il n’en reste qu’une, le capitalisme, qui nous a plongés dans la société de consommation. "L’objectif d’une société n’est pas de rendre les individus heureux, mais de faire fonctionner le système", disaient ses théoriciens… Nous y voilà! Nous sommes privilégiés et comblés en matière de santé, d’éducation, de confort, de richesse. Mais nous ne sommes pas les plus heureux. Et nous nous en sentons émission serait donc une manière de se consoler des maux de notre société?Elle permet plutôt une prise de conscience. J’ai fait le choix de poser mon regard sur des humains qui provoquent tous les sentiments, sauf la pitié. Rendez-Vous en terre inconnue va à la rencontre de peuples vivant en dehors de notre système, avec une organisation sociale ancestrale. Nous rions beaucoup, nous pleurons aussi, les rencontres sont tactiles et la charge émotionnelle très forte. Le public est marqué par la puissance de cette rencontre. Il assiste à la création d’un lien. Or, le lien, c’est le secret du bonheur! Ces gens nous ouvrent leur vie et nous disent des choses qu’ils n’ont jamais exprimées ressentez-vous ce bonheur pendant les tournages?J’ai essayé, pendant longtemps, de décrypter la raison du bien-être que j’éprouve à chaque voyage. Il tient en un mot la bienveillance. Le cynisme est un concept occidental qui n’existe pas dans ces sociétés. Là-bas, lorsque l’on trébuche, quelqu’un nous prend la main, parfois dans une certaine forme de naïveté. L’émission peut véhiculer certains fantasmes ou idéalisations sur leurs modes de vie. Ces peuples sont fiers, ils ont de l’estime pour eux-mêmes, mais il ne faut pas oublier que ce sont des minorités méprisées dans leurs pays."Le sourire provoque le meilleur chez l’autre", explique un Lolo devant la caméra… Il s’agit de naïveté?Dans chaque émission, ces peuples nous font passer un message, ils nous interrogent sur notre propre existence. Un Papou d’Indonésie nous a un jour expliqué "On est ensemble, alors je suis content". En Mongolie, un Tsaatan m’a interpellé "Alors Fred, on est heureux, on a besoin de quoi?" Savons-nous seulement la dernière fois où nous avons été heureux, et où nous l’avons exprimé? En Indonésie, un shaman réconfortait Patrick Timsit qui ne dormait pas bien la nuit et lui demandait un médicament "Ne pense pas à demain…" Il n’y a pas d’autre explication psychanalytique à l’anxiété! Ces messages remettent en question nos choix, nos montrent également que la notion du temps diverge…Lorsque j’ai été viré de France 2 après avoir présenté l’émission Comme au cinéma pendant cinq ans, qui était un succès, je me suis demandé quel était mon désir. J’ai compris que je voulais faire un documentaire subjectif, à travers le regard d’une personne qui ne se projette pas dans l’avenir et se retrouve en situation de vivre pleinement le moment présent, car je lui cache tout du déroulé des événements. C’est sans doute pour cela que les invités gardent un souvenir si fort de l’émission. Nous passons notre temps à anticiper. Or, le bonheur, c’est l’instant présenterez le 15 novembre sur France 2 un nouveau prime time, Leurs secrets du bonheur. C’est décidément un état qui vous obsède!Rendez-Vous en terre inconnue parle du bonheur ailleurs. Nous avons choisi de nous intéresser au bonheur chez nous quels sont les obstacles, les fausses pistes? De quoi l’homme a-t-il besoin pour être heureux? Des réponses existent, philosophiques et scientifiques. Sourire a, par exemple, des conséquences sur la santé et sur l’espérance de vie. Lorsque j’étais petit, le monde était pour moi terrible. Je suis un résilient. J’ai découvert très tard, à travers les livres, que le bonheur est un apprentissage. Voir le bon côté des choses était pour moi une question de survie. D’où mon envie aujourd’hui de le partager…Y a-t-il des recettes pour le bonheur?Dans l’émission, nous donnerons la parole à différents témoins, qui livreront leurs recettes du bonheur et ce que la vie leur a appris, ce qu’ils ont traversé. Ce ne sont pas des conseils, ni des injonctions. C’est leur vécu. Nous parlerons aussi des émotions, qui peuvent être dangereuses si on les évite. Il faut les vivre, les accepter, ne pas les refouler. Il n’y a pas de recettes miracles. Le bonheur se pratique comme un sport ou un instrument de musique. Ce n’est pas un état permanent. Rien n’est gagné une fois pour toutes!Source JDD papier
Leregret et la colère, pour leur part, sont enracinés dans le passé ; ils surviennent, car nous repensons à des évènements sans les accepter. Le bonheur et l’épanouissement, eux, sont enracinés dans le présent. Alors, arrêtez de vivre dans le futur et de repenser au passé: vivez l’instant présent.
L'épicurisme La sagesse d'Epicure 341-270 av. est encore trop fréquemment confondue avec celle d'Aristippe de Cyrène 435-356 av. et toutes deux sont caricaturées à outrance 1. Non, l'épicurien n'est pas ce pourceau» qui fait assaut de bonne chère et ne s'épanouit que dans un libertinage débridé. Peut-être s'agit-il de l'une des sagesses les plus utiles pour notre époque, puisqu'elle se propose de nous délivrer de l'angoisse, de nous mettre à l'abri du danger et de la souffrance. Le sage épicurien accomplit tous les actes de la vie quotidienne en fonction d'un but unique la poursuite du bonheur. Mais, pour Epicure, le bonheur ne réside ni dans le confort matériel ni dans la simple satisfaction des plaisirs. Il advient lorsque l'homme atteint la tranquillité de l'âme, c'est-à-dire lorsqu'il ne subit plus ni trouble ni douleur. Jouissons pleinement de l'instant, car le présent seul est le temps du pur bonheur d'exister.» Comment accéder au bonheur? En supprimant le principal facteur d'angoisse, qui est la crainte, répond Epicure. Or la crainte se manifeste sous deux formes principales la peur de Dieu et la peur de la mort. Si les dieux existent, explique Epicure, ils sont indifférents aux affaires humaines ce serait déchoir que de s'occuper des mortels l'autarcie divine est à ce prix, on ne saurait donc les craindre. Quant à la mort, elle n'est rien pour nous», affirme-t-il. Mais cela ne signifie pas qu'il faille chasser de notre tête l'idée de la mort. Bien au contraire! Ignorer cette réalité ne fait que renforcer l'angoisse au moment où l'on finit par y repenser - et ce moment arrive toujours. Il s'agit de comprendre que la mort n'est rien d'autre que la fin des activités vitales l'âme, quittant le corps, se désagrège, car elle ne peut survivre sans son enveloppe protectrice. La mort, puisqu'elle est disparition de l'affectivité, ne peut donc pas nous affecter, et il est irrationnel de la redouter après la mort, il n'y a rien; on est mort, un point c'est tout. Loin de nous désespérer, cette conviction devrait nous sauver et faire de notre vie une fête; en effet, puisqu'il n'y a rien à espérer et rien à craindre, nous sommes totalement libres. Libérés de l'angoisse, nous pouvons nous appliquer à vivre l'instant présent le plus intensément possible - et nous y parviendrons d'autant plus facilement que nous admettrons que nous sommes mortels. Le poète Horace, disciple d'Epicure, ira plus loin encore carpe diem nous dit-il. Jouissons pleinement de l'instant, car le présent seul est le temps du pur bonheur d'exister. Or le bonheur ne saurait être parfait si l'on ne distingue pas soigneusement les désirs qui nous assaillent et, souvent, nous perturbent. Certains sont naturels et nécessaires boire, manger, s'accoupler... et doivent être satisfaits, d'autres sont naturels mais non nécessaires les fantaisies culinaires ou sexuelles, par exemple, et plus généralement tout ce qui relève de l'illimitation des désirs naturels et nécessaires, d'autres encore sont vains ce sont les désirs sociaux les honneurs, la richesse, le pouvoir, la gloire.... A première vue, la sagesse épicurienne semble donc plutôt ascétique! Mais, si le sage épicurien n'est pas le libertin que l'on a si souvent dépeint, il a le mérite d'innocenter le désir que Platon et Aristote avaient posé comme indigne, qu'il pratique avec modération. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Vivre en épicurien, c'est donc 1. Rechercher le bonheur, conçu comme élimination de ce qui nous fait souffrir. 2. Ne pas craindre la mort. 3. Vivre au présent et non dans les souvenirs ou l'attente du futur. 4. Refuser de croire aux dieux, à la providence ou à quelque finalité rien n'est prémédité, pas même l'ordre et la beauté du monde. 5. Admettre l'existence d'une infinité de mondes au-delà du nôtre. 6. Adopter une hygiène de vie qui repose sur l'équilibre naturel la nature est le seul guide. 7. Considérer que toute quête, parce qu'elle est sans fin, nous entraîne au-delà de ce qui est, en nous, naturel, et nous écarte ainsi du bonheur. 8. Philosopher, puisque penser est la seule activité qui peut rassurer l'homme, dissiper les ténèbres de l'âme et lui permettre d'atteindre cette tranquillité qui est la condition du bonheur. 1 Michel Onfray a montré les subtilités du cyrénaïsme dans un bel ouvrage, L'Invention du plaisir. Fragments cyrénaïques Le Livre de poche. A lire Epicure Lettres, maximes, sentences Le Livre de poche. Lucrèce De la nature Garnier-Flammarion. André Comte-Sponville Lucrèce, poète et philosophe La Renaissance du Livre. Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
4août 2020. Le bonheur passe par la capacité à profiter de l’instant Présent, être ici et maintenant. Le désir est à la base de la souffrance qui est la première source de violence. Le désir se situe dans le futur quand nous
Le concept du bonheur selon Nietzsche Pour le philosophe allemand du XIXe siècle, la vie ne tend pas au bonheur, mais à étendre sa puissance. Le bonheur lui, tient à deux éléments fondamentaux la capacité d’oubli et la réconciliation avec le malheur. La vie ne tend pas au bonheur Nietzsche voit la vie comme une énergie. Une force vitale qui pousse tout être vivant, à étendre son pouvoir sur ce qui l’entoure. La vie est volonté de puissance » à la fois sous une forme créatrice, mais aussi de destruction, d’agressivité, elle est donc ambivalente. Ainsi cette volonté de puissance n’a pas pour but de mener au bonheur. Tout être vivant est animé par un désir de puissance, non par un désir de bonheur. Pour le philosophe, le bonheur c’est ” Le sentiment que la puissance croît, qu’une résistance est en voie d’être surmontée.” Le bonheur tient à la capacité d’oubli Pour Nietzsche le bonheur est positif, c’est même une condition au bonheur. L’attachement au passé, nostalgie, ne peut mener qu’à la paralysie, oublier c’est se libérer et pouvoir agir. Il faut également oublier le futur, ne pas être dans l’anticipation, car ça pourrait aussi nous paralyser. L’oubli a donc un rôle double dans le bonheur il nous rattache au présent et il permet l’accomplissement de notre puissance. En débarassant l’action de ce qui pourrait l’orienter faussement et en la rendant plus efficace. “Dans le plus petit comme dans le plus grand bonheur, il y a quelque chose qui fait que le bonheur est un bonheur la possibilité d’oublier, ou pour le dire en termes plus savants, la faculté de sentir les choses, aussi longtemps que dure le bonheur, en dehors de toute perspective historique. L’homme qui est incapable de s’asseoir au seuil de l’instant en oubliant tous les événements du passé, celui qui ne peut pas, sans vertige et sans peur, se dresser un instant tout debout, comme une victoire, ne saura jamais ce qu’est un bonheur et, ce qui est pire, il ne fera jamais rien pour donner du bonheur aux autres.” Nietzsche – Considérations inactuelles Le bonheur une réconciliation avec le malheur selon Nietzsche Le bonheur, chez Nietzsche intègre l’ambivalence de la vie, il est réconciliation avec le malheur. Pour lui, il ne s’agit pas d’éviter le malheur, par le détachement ou la sagesse. Au contraire, d’embrasser complètement ce malheur car il est un élément de la vie. Etre heureux, c’est aimer la vie avec le malheur qu’elle contient et le traverser pleinement. Cette attitude joyeuse, Nietzsche l’appelle Ja sagen, c’est-à-dire dire oui ». Oui à la vie telle qu’elle est et avancé vers son destin la tête haute. Sources 👉 En savoir plus au sujet des philosophes et du bonheur Le bonheur vu par les philosophes 🎙 DÉCOUVREZ LE PODCAST C’est quoi le bonheur pour vous ? et retrouvez chaque semaine un entretien dans lequel Julien Peron. Il aborde avec ses des questions relatives au bonheur, à la connaissance de soi, aux médecines douces et au bien-être. GlQh.
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